
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Santé et environnement
13 mai 2016
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) ont publié mardi de nouvelles directives visant à réduire les dommages causés par les pesticides hautement toxiques, qui présentent, en particulier, des risques pour la santé humaine et pour l’environnement.
Les produits présentant une toxicité aigüe sont responsables de nombreux cas d’empoisonnement directs, notamment dans les pays en développement, tandis que ceux présentant une toxicité chronique peuvent engendrer des cancers ou des troubles du développement chez les enfants en pleine croissance, a rappelé la FAO dans un communiqué de presse.
Dans les pays industrialisés, ces « pesticides extrêmement dangereux » ne sont plus autorisés ou sont sujets à un usage restreint, cependant ils restent largement disponibles dans les pays en développement. Les produits dangereux autorisés dans les pays industrialisés peuvent également causer de graves problèmes dans les pays en développement, où les conditions d’utilisation s’avèrent très différentes.
Les petits exploitants agricoles des pays en développement, en particulier, ne disposent souvent pas ou n’utilisent pas d’équipement de protection et ont principalement recours à des pulvérisateurs à dos qui les exposent à des risques importants. Des restrictions imposées sur l’utilisation de ces produits extrêmement dangereux se sont souvent révélées compliquées à appliquer, conduisant de plus en plus de personnes non qualifiées à les utiliser. Parmi les conséquences figurent de nombreux cas d’empoisonnement, de nourriture contaminée et des dommages à l’environnement.
Un petit groupe de pesticides particulièrement dangereux est souvent responsable de la plupart des cas d’empoisonnement. Dans bien des cas, ils peuvent être remplacés par des produits moins dangereux ou encore par des approches de protection intégrée contre les ravageurs visant à réduire la dépendance aux pesticides.
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