
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Rapport de l’IPBES
7 mai 2019
Le rapport de l’IPBES explique que la perte de biodiversité est notamment due à l’exploitation de richesses situées à des milliers de kilomètres de leur consommation par une population qui ne subit pas directement la perte de biodiversité dans son environnement proche. Extrait du communiqué présentant le rapport.
Le rapport souligne que, depuis 1980, les émissions de gaz à effet de serre ont été multipliées par deux, provoquant une augmentation des températures moyennes mondiales d’au moins 0,7 degré Celsius. Le changement climatique a déjà un impact sur la nature, depuis le niveau des écosystèmes jusqu’à celui de la diversité génétique - impact qui devrait augmenter au cours des décennies à venir et, dans certains cas, surpasser l’impact dû au changement d’usage des terres et de la mer et des autres facteurs de pression.
En dépit des progrès réalisés pour conserver la nature et mettre en œuvre des politiques en faveur de celle-ci, le rapport met aussi en évidence que les trajectoires actuelles ne permettent pas d’atteindre les objectifs mondiaux visant à conserver et exploiter durablement la nature. Les objectifs pour 2030 et au-delà ne pourront être atteints que par un changement transformateur dans les domaines de l’économie, de la société, de la politique et de la technologie.
Les tendances négatives actuelles concernant la biodiversité et les écosystèmes vont freiner les progrès en vue d’atteindre les objectifs de développement durable dans 80% (35 sur 44) des cas où les cibles ont été évaluées ; en particulier ceux liées à la pauvreté, la faim, la santé, l’eau, les villes, le climat, les océans et les sols. La perte de biodiversité est donc non seulement un problème environnemental, mais aussi un enjeu lié au développement, à l’économie, la sécurité, la société et l’éthique.
« Pour mieux comprendre et, plus important encore, pour s’attaquer aux principales causes des dommages causés à la biodiversité et aux contributions apportées par la nature aux populations, nous devons comprendre l’histoire et les interconnections mondiales qui existent entre les facteurs indirects complexes de changement démographiques et économiques, ainsi que les valeurs sociales qui les sous-tendent », a déclaré le professeur Brondízio. « Les principaux facteurs indirects comprennent l’augmentation de la population et de la consommation par habitant ; l’innovation technologique, dont les dommages causés à la nature ont diminué dans certains cas tandis qu’ils ont augmenté dans d’autres ; et, de manière critique, les questions de gouvernance et de responsabilité. Une tendance qui émerge est celle dite de l’interconnectivité mondiale et du « telecoupling ». Dans ce cas, l’extraction des ressources et leur production ont lieu dans une partie du monde, mais servent souvent à satisfaire les besoins de consommateurs éloignés, qui vivent dans d’autres régions. »
(Source : communiqué IPBES)
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Messages
8 mai 2019, 22:40, par Arthur
Avec une île autonome en énergie enfin. Qui exploite pour la bonne cause, l’énergie que nous offre mère nature entre le volcan dans la géothermie, comme déjà depuis longtemps l’Islande, le Japon et la Nouvelle-Zélande îles volcaniques comme aux Antilees aussi puis, les alizés dans l’éolien, le soleil, la force de l’océan on y parviendra et montrera au monde entier, aux autres îles confrontées aux mêmes problématiques que c’est possible, que la population respecte son territoire et qu’elle est fière d’avoir changer en mieux. Soucieuse de l’avenir de ses enfants, nés ou à naitre. Le tourisme ne s’en portera pas plus mal, car combien de temps avons nous perdu ? Combien de CO2 envoyé dans l’air ? Combien de déchets, de la mer jusqu’aux ravines où les irresponsables balancent leurs détritus pas vraiment biodégradables, une honte ! Concernant les transports, vivement ceux publics, pourquoi pas gratuits, comme dans déjà une vngtaine de villes française, électriques et pourvoyeurs l’emplois locaux, car pour le moment, seuls 5% des citoyens les prennent, encore une honte. Il n’ya pas non plus de vélibs à la Réunion !? Avec les trains, des TER-PEI, des téléphériques et de l’altruisme enfin, assumé on peut y arriver. Arthur qui tousse dans les bouchons et qui s’affole quand il voit des coureurs de fond longer les boulevards chargés de micro particules cancérigènes.