
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Lutte contre un ravageur importé
29 juillet 2022
Suite à la confirmation le 6 juillet dernier de la présence du petit coléoptère des ruches sur le territoire de l’île de la Réunion, une réunion avec les professionnels de la filière apicole s’est tenue en préfecture le lundi 25 juillet. Cette dernière a permis de faire le point sur la situation, les actions engagées et les procédures d’indemnisation.
Au 25 juillet, 12 foyers confirmés positifs sont recensés. Tous sont circonscrits dans un périmètre limité dans le Sud de l’île.
Parmi ces 12 foyers :
- 1 est à Saint-Pierre (rucher en provenance de Saint-Philippe),
- 10 sont à Saint-Philippe,
- 1 est à Saint-Joseph.
Pour rappel, lorsqu’un qu’un foyer est détecté positif par l’ANSES, il fait l’objet de mesures de police sanitaire visant à éradiquer le ravageur pour éviter sa dissémination.
Les prospections menées sur les zones Nord, Est et Ouest ont à ce stade conclu à l’absence du coléoptère dans les ruchers visités.
Le petit coléoptère des ruches provoque l’affaiblissement ou la mort des colonies d’abeilles.
Les impacts de ce ravageur, s’il venait à s’installer à La Réunion, seraient majeurs sur la filière apicole, mais également sur l’environnement notamment pour les secteurs dépendants des activités de pollinisation des abeilles.
Ce ravageur nécessite la mise en œuvre de mesures de prévention, de surveillance renforcée et de lutte forte et rapide. Ces mesures sont mises en œuvre par les services de l’État, appuyés par le Groupement de défense sanitaire (GDS). L’objectif est bien d’enrayer rapidement le phénomène naissant et de préserver ainsi l’intégrité du cheptel apiaire et l’activité apicole réunionnaise.
C’est pourquoi en l’état actuel de la situation dans le Sud de l’île et afin d’éviter la propagation au reste du territoire, il est donc impérieux de détruire toutes les colonies et le matériel des ruchers infestés. Ces mesures sont complétées par un assainissement du sol des ruchers infestés pour s’assurer de la destruction des larves éventuellement présentes. Cette opération ne peut pas être pratiquée en présence de colonies d’abeilles sur le site.
En complément, les prospections dans les zones situées autour des ruchers infestés et sur le reste du territoire ont vocation à s’intensifier. Des renforts nationaux viendront conforter les moyens déjà engagés localement par la DAAF et le GDS pour mettre en œuvre ces opérations.
Les expertises en vue de l’indemnisation des apiculteurs, professionnels ou amateurs, qui ont vu leurs ruchers dépeuplés et détruits sur demande de l’administration ont débuté le 20 juillet. Elles se poursuivront pour chaque cas où les mesures requises seront appliquées.
En complément, les services de l’Etat sont mobilisés pour accompagner les apiculteurs dont les ruchers ont dû faire l’objet de destruction sur le plan technique et humain.
Depuis l’apparition de ce ravageur, les professionnels sont régulièrement tenus informés de l’évolution de la situation par les services de l’État. Les dernières journées apicoles des 21 et 22 juillet ont notamment permis des échanges fructueux et ouverts avec les apiculteurs.
Autour de chaque rucher infesté, une zone de protection d’un rayon de 5 km et une zone de surveillance ont été définies par arrêté préfectoral. Des mesures strictes de police sanitaire s’y appliquent, dont l’interdiction stricte de déplacement des ruches et du matériel apicole en provenance, à destination et à l’intérieur des zones ainsi définies.
La détention d’une ruche, à titre particulier ou professionnel, doit obligatoirement être déclarée. Cette déclaration s’effectue par voie électronique sur :
http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr/
Par arrêté préfectoral n°413/SGAR/DAAF du 24 mars 2016, toute introduction ou importation des produits suivants est strictement interdite, quelle qu’en soit la forme ou les modalités :
• matériel apicole ayant servi à l’exploitation d’un rucher ;
• miel et pollen à visée de nourrissement ou de complémentation alimentaire des colonies d’abeilles ;
• cires d’abeilles ayant servi à l’exploitation d’un rucher ;
• abeilles vivantes ou mortes du genre Apis.
Tout apiculteur, professionnel ou amateur, constatant ou suspectant la présence du ravageur Aethina tumida doit en informer immédiatement le vétérinaire chargé du suivi de son rucher ou les services de la direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt : [email protected] ou 02 62 30 89 89 ou, le soir et le week-end, le service régional de la communication interministérielle au 02 62 40 77 77.
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