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Eruption
2 septembre 2004
Le cône éruptif qui a surgi en bord de mer à la limite de la plate-forme volcanique au pied du Grand Brûlé côté Sainte-Rose est silencieux depuis hier au petit jour. Cette accalmie ne serait que temporaire. ’L’activité peut reprendre à tout moment et il est d’ailleurs probable que ce soit le cas’, note Thomas Staudacher, directeur de l’observatoire volcanologique.
Le cratère qui a surgi dans la nuit de lundi à mardi a grondé et craché tout au long de la journée de mardi et une partie de la nuit avant de se taire au petit matin hier. Peu de temps avant l’accalmie, dans des grondements assourdissants, le cône projetait du feu liquide par intermittence à une hauteur de 60 à 80 mètres de haut.
"La poche de lave s’est sans doute vidée, mais le phénomène peut reprendre à n’importe quel moment. Il n’y a d’ailleurs pas de raison de ce ne soit pas le cas puisque la lave continue de s’infiltre sous la plateforme", explique Thomas Staudacher.
L’observatoire volcanologique a en effet déterminé que la création du cône n’est pas due à l’ouverture d’une fissure mais à l’accumulation - sous le plateau - de la lave déferlant des grandes pentes.
L’éruption se poursuivant au sommet - hier encore le trémor était constant -, et les mêmes causes provoquant les mêmes effets, le feu liquide s’entassant sous la plate-forme peut surgir à tout moment et former un nouveau cône éruptif. Comme cela a été le cas dans la nuit de lundi à mardi, le phénomène se manifesterait alors par des projections explosives provoquées par la rencontre de l’eau et de la lave.
C’est la raison pour laquelle le sentier d’accès au site côté Sainte-Rose reste fermé au public. Cela d’autant qu’un autre danger existe. "Il y un risque certain d’affaissement ou de fracture de la plate-forme", remarque Thomas Staudacher en expliquant que le contact entre les vagues et le plateau de lave à peine solidifiée "peut être explosif puisque la chaleur s’élève à plusieurs centaines de degrés sur la plate-forme".
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