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Congrès mondial de la Nature de l’UICN
14 septembre 2012
À l’occasion du 40ème anniversaire de la Convention du Patrimoine mondial le 11 septembre 2012, l’UICN a lancé un cri d’alarme sur les menaces grandissantes qui pèsent sur nombre des sites existants du Patrimoine mondial et a appelé au renforcement des mesures pour en garantir l’avenir.
Malgré les succès considérables qui ont été enregistrés ces quarante dernières années, la Convention ne peut se reposer sur ses lauriers, estime l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), l’organe consultatif du Patrimoine mondial sur la nature. Pendant la décennie à venir, il sera indispensable d’affecter davantage de ressources à la protection des sites du Patrimoine mondial et de combler les lacunes de cette liste prestigieuse en y appliquant la norme d’or de l’inscription au Patrimoine mondial, déclare l’UICN.
« Trop de sites du Patrimoine mondial se trouvent aujourd’hui privés des ressources nécessaires pour en assurer une bonne gestion, ce qui compromet leur rôle de modèles naturels pour la protection d’habitats critiques et d’animaux sauvages uniques, cruciaux pour l’avenir de notre planète », déclare Tim Badman, Directeur du Programme du Patrimoine mondial de l’UICN. « Ces sites doivent souvent faire face à de nombreux défis, particulièrement ceux issus d’activités minières et pétrolières ».
L’UICN considère également que la Convention doit demeurer un mécanisme efficace pour la conservation de zones riches en merveilles naturelles, et que ses normes doivent être maintenues. Mesure considérée comme rétrograde par certains, aucun des quatre sites dont l’UICN avait recommandé l’inclusion à la liste des sites en danger lors de la réunion du Patrimoine mondial tenue cette année n’a été retenu par le Comité de l’UNESCO qui régit la Convention. Loin d’être une mauvaise note pour les pays concernés, l’inscription à la liste des sites en danger est au contraire une façon d’attirer l’attention et de fournir un soutien aux sites exposés au risque critique de perdre la faune sauvage et les paysages pour lesquels ils ont été reconnus au départ par le monde entier.
« Le succès du Patrimoine mondial tient à la manière dont il a pu reconnaître des sites exceptionnels et focaliser l’attention internationale sur leur protection », ajoute Tim Badman. « Cependant, des signes inquiétants indiquent que la Convention pourrait devenir moins efficace si elle ne continue pas à défendre ses propres normes. Des actions décisives s’imposeront pour qu’elle demeure pertinente face aux exigences croissantes de la conservation au 21ème siècle ».
Près de 8% des 217 sites naturels du Patrimoine mondial figurent sur la liste des sites en danger, tandis que 25% d’entre eux sont affectés par de graves problèmes de conservation et que la situation de nombreux autres sites n’est pas connue. Plus de 60% des sites de l’Afrique occidentale et centrale sont sur la liste des sites en danger, et le quart des ces zones emblématiques est menacé par des projets miniers, pétroliers et gaziers. Parmi ceux-ci, figure le Parc national des Virunga, en République démocratique du Congo, qui abrite les derniers gorilles de montagne du monde.
L’UICN a participé à la création de la Convention du patrimoine mondial en 1972 et joue un rôle consultatif important en aidant la Convention à atteindre des objectifs de conservation. Il est reconnu que les sites du Patrimoine mondial comptent parmi les environnements les plus précieux du monde. Il y en a 217 au total, protégeant plus de 250 millions d’hectares de terres et d’eaux marines dans plus de 90 pays.
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