
Un vrai calendrier scolaire réunionnais n’est pas pour demain
28 juin, parLe calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
22 janvier 2007
Un rapport de Greenpeace pointe le lien direct entre libéralisation des échanges et surpêche.
Selon un rapport rendu public samedi par Greenpeace à l’ouverture du Forum social mondial à Nairobi (Kenya), la libéralisation massive du marché des produits de la mer compromettrait gravement les ressources halieutiques mondiales et contribuerait à l’appauvrissement des pays les plus pauvres.
A partir de données issues de l’OCDE, de l’UE et du PNUE, Greenpeace s’est penché dans son nouveau rapport La marchandisation des océans sur les liens entre l’ouverture des marchés et l’évolution à long terme des ressources et des revenus issus des pêcheries. Trois pays ont été tout particulièrement étudiés : le Sénégal, l’Argentine et la Mauritanie. Pour tous, le constat est clair : la réduction des droits de douane a dopé les exportations, mais a vite entraîné une dramatique surexploitation des stocks de poissons ayant une valeur commerciale. Résultat : des écosystèmes marins démolis et une sécurité alimentaire locale menacée.
Pour Greenpeace, ces exemples significatifs doivent être pris en compte par les négociateurs de l’OMC qui se réunissent à partir du 27 janvier en marge du Forum Economique Mondial à Davos pour débattre de la diminution ou la suppression des droits de douane sur le poisson.
Graves impacts
« Le message envoyé de Nairobi à Davos est clair : les plans de libéralisation débridée du marché des pêcheries doivent être abandonnés immédiatement au regard des graves impacts sociaux et environnementaux de la su-exploitation des ressources qui s’ensuit » dit Stefan Beaucher, en charge de la campagne Océans à Greenpeace France. « Si les ministres assemblés à Davos persistent à évoluer vers une libéralisation aveugle, les écosystèmes marins et la sécurité alimentaire de milliards d’individus en paieront le prix. »
Le rapport complet (en anglais) est disponible à l’adresse suivante : http://oceans.greenpeace.org/tradingaway
Une synthèse en français est disponible sur http://www.greenpeace.fr.
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)