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La KER et Europe Écologie
23 octobre 2010
Lors d’une conférence de presse hier, les Europe Ecologie et la KER ont constaté, d’une part, « des dysfonctionnements » et « un manque de réactivité » face à l’incendie qui ravage depuis plusieurs jours les Hauts de Saint-Paul et, d’autre part, donné un certain nombre de préconisations pour préparer l’avenir face non seulement aux incendies, mais également au changement climatique dans le but de « réduire la vulnérabilité du territoire face aux aléas climatiques ».
Ces dix jours d’incendie qui a ravagé près de 1.000 hectares ont permis de constater qu’il y a eu « un véritable problème de réactivité » (le bombardier d’eau est arrivé au bout de dix jours) et un certain nombre de dysfonctionnements (en termes de moyens utilisés pour ce type d’incendie et d’accès à l’eau) « qui ont surtout démontré que nous ne gardons pas la mémoire des catastrophes du passé ».
L’arrivée d’un bombardier d’eau de Marseille le 19 octobre, soit plus d’une semaine après le début de l’incendie, montre une défaillance dans le système de lutte contre le risque incendie.
D’une manière générale, que ce soit pour le risque incendie ou les risques inondation/submersion, il faut bâtir un véritable outil de gestion des risques assumant l’articulation et la coordination de tous les éléments de la “chaîne du risque” : connaissance, prévention, protection, prévision, alerte, gestion de crise, assurances, implication des acteurs et des services de l’État.
Il faut donc construire des retenues d’eau ou des réservoirs de récupération des eaux pluviales en plus grand nombre dans le secteur du Maïdo. Mais il faudra aussi des moyens humains pour les entretenir, c’est pourquoi le recours à des cantonniers ou agents forestiers sera nécessaire.
« Nous préconisons aussi de faire contribuer les personnes âgées dont l’expérience vécue des incendies ou des catastrophes du passé et de leurs conséquences, peut éclairer sur les choix et les risques actuels et futurs », ajoutent les Verts qui souhaitent « développer une culture participative de la prévention des risques en informant et en formant la population ». L’un des risques potentiels est de voir des espèces envahissantes profiter de l’extinction de plantes endémiques pour proliférer, ajoutent-ils.
« Nous proposons enfin la création d’une force permanente de protection civile de la zone Océan Indien qui aurait vocation à pouvoir intervenir dans les pays de la zone avec lesquels nous aurions bâti un partenariat », proposent en conclusion les écologistes.
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