
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Semaine de l’eau
21 août 2007
Cette Semaine de l’Eau, à laquelle 2.500 experts du secteur de l’eau, venus du monde entier, ont participé, a soulevé de nombreux problèmes liés à l’eau. C’est pourquoi, il nous est apparu important d’y revenir. Le thème prépondérant a été bien sûr les changements climatiques, mais également la gestion de l’eau.
Selon le Directeur de l’événement, Johan Kuylenstierna, la gestion de l’eau est un outil important pour faire face aux changements climatiques, « dans un contexte où l’Homme fait aujourd’hui face au double défi de la croissance de la population mondiale et du réchauffement de la planète ».
Parer aux inondations massives
Tandis que près de 80% de la population mondiale vit à moins de 50 kilomètres des côtes, l’Institut international de l’eau à Stockholm (SIWI) rappelle que l’un des nombreux effets des changements climatiques est la hausse du niveau de la mer.
À ce chapitre, les participants au congrès ne manquent pas d’exemples pour illustrer cette situation. Il n’y a qu’à penser aux récentes inondations dans le Sud de l’Asie, notamment au Bangladesh qui se retrouve en grande partie sous le niveau de la mer.
Selon le SIWI, « les changements climatiques, combinés à une population qui continue d’augmenter et à l’expansion des centres urbains, constituent une recette pour les catastrophes ». Plusieurs experts insistent par ailleurs pour dire que l’augmentation du niveau des eaux, par exemple, devrait être plus sérieusement prise en compte dans la planification urbaine.
Pour la Directrice du Centre pour la science et l’environnement en Inde, Sunita Narain, son pays est en plein processus d’urbanisation et connaît un boom de la construction des villes. Une occasion, selon elle, d’intégrer les possibles effets des changements climatiques et de réinventer « de nouveaux modèles » de villes.
Elle rappelle qu’il y aura de plus en plus d’événements imprévisibles et de plus en plus d’inondations, mais que la construction des villes est encore trop axée sur les bâtiments au détriment d’autres facteurs comme la question de l’eau.
2 millions d’enfants meurent par manque d’installations sanitaires
Des experts sont venus rappeler aux participants de la conférence que près d’un tiers des habitants de la planète n’a pas accès à des toilettes. Une situation aux conséquences dramatiques, affirme plusieurs experts, responsable chaque année de la mort de millions de personnes atteintes de maladies liées au manque d’hygiène.
Selon des données de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le tiers de la population mondiale qui n’a pas accès à des toilettes (2,6 milliards de personnes) produit annuellement plus de 200 millions de tonnes d’excréments qui ne sont ni collectés, ni traités.
Selon le SIWI, plusieurs maladies comme la diarrhée, qui sont directement reliées au manque d’installations sanitaires, sont responsables de la mort de plus de 2 millions d’enfants chaque année.
Les experts sur la question affirment que le problème de l’accès à des installations d’hygiène est « l’une des histoires négligées du développement ».
« C’est en partie en raison du tabou. On ne parle pas si facilement de ces questions. Ce sont des choses privées », déplore de son côté le Directeur de la Semaine mondiale de l’eau, Johan Kuylenstierna.
Ce dernier rappelle que, selon les Nations Unies, les conditions sanitaires et hygiéniques dans lesquelles vivent les populations ont un impact direct sur leur santé et la mortalité infantile, mais aussi sur la réduction de la pauvreté, la place des femmes et des jeunes filles dans la société, la scolarisation, l’environnement et le développement social et économique.
Les Nations Unies ont d’ailleurs décidé de faire de 2008 l’année internationale des questions sanitaires.
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