
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Emmanuel Macron fixe des objectifs pour ce sommet
2 avril
Co-organisée par les gouvernements de la France et du Costa Rica, la 3ème Conférence des Nations Unies sur l’Océan se tiendra à Nice en France, du 9 au 13 juin 2025.
Le thème principal de ce sommet sera « Accélérer l’action et mobiliser tous les acteurs pour conserver et utiliser durablement l’océan ». Ce sommet vise à soutenir une action urgente et plus poussée pour conserver et utiliser durablement l’océan, les mers et les ressources marines pour le développement durable et à identifier d’autres moyens de soutenir la mise en œuvre de l’Objectif de Développement Durable n° 14.
Le sommet s’appuiera sur les instruments existants pour former des partenariats fructueux en vue d’une conclusion rapide et d’une mise en œuvre efficace des processus en cours qui contribuent à la conservation et à l’utilisation durable des océans, selon le site ocean-climate.org.
En marge de la session plénière réunissant les 193 Etats membres des Nations Unies, se tiendront des séquences de dialogues regroupant les Etats membres, les organisations internationales ainsi que des représentants de la société civile (ONGs, scientifiques, entreprises).
Ces dialogues, intitulés les « Ocean Action Panels », mettront en valeur l’engagement des différents acteurs, la création de coalitions et de projets en faveur de l’Océan. De plus, la Conférence sera précédée de trois événements spéciaux : le One Ocean Science Congress (4-6 juin 2025, à Nice), le Blue Economy and Finance Forum (7-8 juin 2025, à Monaco), et la Conférence dédiée à la Coalition Ocean Rise & Coastal Resilience (7 juin 2025, Nice).
Huit objectifs fixés par la France
Le président français Emmanuel Macron a fixé huit objectifs à la prochaine Conférence des Nations unies pour l’Océan, dont l’entrée en vigueur de l’accord sur la gouvernance de la haute mer, l’arrêt de la surpêche mondiale et la défense de la science à l’heure de sa remise en cause aux États-Unis.
L’accord trouvé à l’ONU en mars 2023 pour « la conservation et l’utilisation durable » de la haute mer a été signé par 110 États mais n’a été ratifié que par 21 d’entre eux.
« L’objectif pour Nice c’est d’avoir au moins les 60 ratifications qui lui permettront d’entrer en vigueur. On n’y est pas encore [...] Il y a encore un très gros travail à faire », a indiqué le président français à l’occasion d’un sommet « SOS Océan », organisé à Paris.
« Il faut rendre possible un espace de gestion durable de la haute mer et de ses ressources », avec la création d’aires marines protégées et des études d’impact environnemental, a-t-il insisté.
Emmanuel Macron a aussi appelé à continuer la lutte contre la « pêche illégale, illicite et non déclarée », qui représente encore entre 10 et 20% de la production selon lui. « À l’Organisation mondiale du commerce (OMC), nous sommes nombreux à faire en sorte que l’accord qui mettra fin aux subventions à la pêche illégale soit ratifié pour Nice », a-t-il souligné.
Emmanuel Macron attend des résultats
Emmanuel Macron espère des « résultats tangibles » sur la décarbonation du transport maritime, avec un objectif de totale neutralité en 2050. Cela doit passer par des « investissements massifs » dans la transition vers les carburants durables. Il a aussi insisté sur la « mobilisation de nouveaux financements » dans l’électrification des ports, la recherche ou l’innovation.
« Nous vivons une période où beaucoup de grandes puissances stoppent leurs financements vers les organismes de recherche publique, contestent la véracité des résultats établis scientifiquement », notamment sur la biodiversité, a-t-il relevé dans une allusion au président américain Donald Trump.
La France plaide pour un moratoire sur l’exploitation des grands fonds marins faute des « connaissances scientifiques nécessaires ». « Il ne doit pas y avoir d’action concernant l’océan qui ne soit éclairée par la science », a indiqué le président français.
« Nous avons une responsabilité [...] de véritablement maintenir le financement d’une recherche académique libre », qui « permette d’établir scientifiquement des résultats » et « sur la base de ces faits établis de changer les pratiques », a déclaré Emmanuel Macron.
Beaucoup de parole mais une toute autre réalité en France
Le sommet de Nice sera précédé de la conférence One Ocean Science Congress réunissant 2000 scientifiques d’une centaine de pays. Emmanuel Macron veut « remobiliser sur (l’objectif des) 30% de protection de nos océans » à l’horizon 2030, ce dont « nous sommes bien loin aujourd’hui avec 8,5% », avec un engagement à atteindre « 12% de protection de nos zones économiques exclusives » d’ici la conférence de Nice.
Concernant la lutte contre la pollution plastique, où « les résultats restent décevants », a-t-il dit, la conférence doit viser à « mobiliser les États les plus ambitieux », notamment les pays riverains de la Méditerranée. Les ONG appellent de leur côté la communauté internationale à passer des paroles aux actes à Nice.
« Le président Macron devrait signifier aux dirigeants qu’ils ne doivent pas se contenter de nouvelles promesses », a indiqué Enric Sala, directeur du projet « Pristine Seas » à la National Geographic Society. « Il y a encore de l’espoir. La fenêtre reste ouverte (..) mais elle se referme aussi rapidement », a ajouté à l’Agence France Presse, Johan Rockstrom, directeur de l’Institut de Potsdam pour la Recherche sur l’impact climatique.
Toutefois, Emmanuel Macron a décidé de mettre de côté les questions environnementales dans son propre pays. En effet, le budget 2025 consacre une baisse de plus de 2 milliards d’euros des crédits alloués à la mission écologie, par rapport à 2024. La transition écologique a été relégué au second plan, car « sur quasiment tous les secteurs, il n’y a pas assez d’argent sur la table pour permettre à la France d’atteindre ses objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre », a déploré en février Emeline Notari, du Réseau Action Climat.
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