
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
ARER
31 août 2009
La France s’est engagée à diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050. L’instauration d’une Contribution climat énergie (CCE) compte parmi les mesures envisagées.
Dans le cadre du Grenelle de l’environnement, la France s’est engagée à diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050, en cohérence avec les scénarios et contraintes étudiés par le GIEC. . Ceci nécessite une inflexion forte de nos comportements de production et de consommation d’énergies fossiles, qui doit recourir aux instruments les plus efficaces.
Dans le cadre de cet objectif, une conférence des experts et une table ronde ont été organisées sur la Contribution Ccimat et énergie. Cette conférence a été présidée par monsieur Michel Rocard (1).
Il n’y a pas de “prix carbone” établi pour infléchir les émissions diffuses de CO2, favorisant les comportements d’économies d’énergie, orientant les investissements et stimulant l’innovation dans les domaines concernés, comme le bâtiment et les transports.
Un accord de principe consensuel a été émis sur l’opportunité d’établir un signal-prix carbone, par le biais d’un droit additionnel, perçu à l’amont en plus des accises existantes sur les combustibles fossiles. Cette Contribution climat énergie (CCE) s’appliquerait à tous les agents non inclus dans le marché européen de permis sur le CO2.
Quelles propositions pour la Contribution climat et énergie ?
Les comportements qu’il s’agit d’infléchir, notamment dans le secteur du bâtiment et des transports, sont souvent associés à des équipements dont la durée de vie est longue. Le signal-prix à établir doit donc à la fois infléchir l’usage de ces équipements et orienter les choix d’investissements.
En termes de taux, les travaux des ateliers et de la table ronde se sont référés à la trajectoire, progressive, du Rapport Quinet. Idéalement, elle devrait cependant démarrer à hauteur de 45 euros par tonne de CO2 pour accélérer la recherche d’économies d’énergie et atteindre, en 2030, 100 euros par tonne de CO2. Le fait de partir, pour des raisons d’acceptabilité, de 32 euros/tonne CO2 ne devrait pas la remettre en cause.
Quelles utilisations pour les recettes ?
Un principe fondamental qui est celui d’une réforme à prélèvements obligatoires constants pour maintenir la compétitivité et le pouvoir d’achat fait l’unanimité. La solution préconisée économiquement consisterait à privilégier l’utilisation de la recette pour baisser les prélèvements les plus pénalisants pour la croissance économique.
Le rapport précise que « la meilleure utilisation de cette recette serait idéalement de l’affecter à la réduction des prélèvements sur le capital et le travail les plus pénalisants pour l’activité économique ». Il soulève toutefois qu’« il faut d’abord assurer l’acceptabilité du dispositif, ce qui nécessite de bien hiérarchiser l’ordre des dividendes attendus, en rendant lisible que son seul objet est l’orientation des comportements d’émissions de CO2 ».
Le rapport propose 3 orientations pour l’utilisation de cette nouvelle recette :
– la baisse d’impôts, pour mobiliser le second dividende, de compétitivité et de croissance.
– des compensations, qui doivent évidemment être conçues pour ne pas atténuer le signal-prix visé, la forfaitisation étant idéale à cet égard.
– des incitations à la transition énergétique, visant à permettre aux agents économiques concernés de s’affranchir de leurs consommations énergétiques, en changeant d’équipements par exemple.
(1) Retrouvez le rapport sur le site de la documentation française.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)