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Les scientfiiques américains attestent d’une "sous la normale"
5 juin 2023
La saison 2023 des ouragans dans l’Atlantique Nord s’annonce moins intense que les précédentes, selon la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAAA).
La NOAA et plusieurs universités américaines ont publié des bulletins concernant la saison cyclonique dans l’Atlantique Nord. Ils annoncent tous une saison "proche des normales", voire même "sous la normale".
Dans le contexte actuel du réchauffement climatique, ces déclarations surprennent car la hausse des températures des océans est le l’élément principal des ouragans. Lorsque les eaux sont anormalement chaudes, les phénomènes cycloniques se forment plus facilement, et s’intensifient plus rapidement.
La NOAA, organisme américain de référence pour l’étude des océans et de l’atmosphère, estime qu’il est probable à 40 % que la saison cyclonique de l’Atlantique Nord soit normale, à 30 % qu’elle soit plus faible que la normale, et à 30 % au-dessus de la normale.
Entre le 1er juin et le 30 novembre, la NOAA prévoit 12 à 17 phénomènes, dont 5 à 9 ouragans, parmi lesquels 1 à 4 ouragans majeurs. Il n’est pas garanti qu’ils toucheront les terres et feront des dégâts. L’indice de confiance pour toutes ces prévisions est de 70 %.
En 2022, 16 phénomènes cycloniques se sont formés dans l’Atlantique Nord, 21 en 2021 et 31 en 2020, un record. La saison des ouragans 2023 est prévue comme "moins active que celles des années précédentes". Pour les chercheurs, c’est probablement un retour à la normale après une succession de saisons anormalement intenses.
Le principal facteur qui influencera la saison 2023 est le retour d’El Niño, un réchauffement d’une partie des eaux du Pacifique qui a une influence sur le climat mondial (après 3 années de La Niña, va version froide).
El Niño est connu pour diminuer l’activité cyclonique de l’Atlantique nord et impacter la météo du monde entier de différentes manières selon les régions. En effet, dans l’océan atlantique, il provoque une zone de hautes pressions dans l’atmosphère, avec des vents forts à haute altitude. Ce fort cisaillement de vent empêche les ouragans de s’élever en altitude, les rendant plus puissants. Dans ces conditions, les ouragans ont donc plus de mal à se former, et sont donc moins intenses.
Cependant, le réchauffement des eaux des océans pourrait compliquer la prévision cyclonique en perturbant les lois naturelles de l’atmosphère et des océans. La NOAA a souligné que même si la saison cyclonique est réellement moins intense que les précédentes, il suffit d’un seul ouragan pour créer un désastre de grande ampleur.
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Messages
5 juin 2023, 20:01, par Maillot Joseph Luçay
C’est peut être une conséquence bénéfique du réchauffement climatique qui envoie plus d’au froide vers les zones intertropicales ou les eaux des océans sont plus chaudes et favorisent les phénomènes dépressionnaires qui se transforment .
En arrivant dans les eaux chaudes , les courants marins froids provenant des zones polaires où la fonte des glaciers est très importante, ramènent leur température au dessous du seuil minimal nécessaires pour créer des phénomènes dépressionnaires .
Mais les cyclones peuvent se former également à l’intérieur des terres , notamment dans les déserts . Au Sahara pour pour l’atlantique nord et en Australie pour l’océan Indien . Et malgré la fonte des glaces qui peut justifier la diminution des cyclones on aura toujours des cyclones très violents qui prennent naissance dans les zones désertiques du globe et qui se renforcent quand ils arrivent sur les océans . Cela a été le cas pour l’un de nos cyclones de la dernière saison qui est né dans le Nord est de l’Australie et qui a battu tous les records de longévité et de destruction notamment à Madagascar et en Afrique .
8 juillet 2023, 03:29, par Maillot Joseph Luçay
Evidement, lorsque les océans de la zone intertropicales ne seront plus refroidis par les courants froids venant des zones polaires notamment lorsque la banquise et les glaciers auront presque disparu , la températures de l’eau des zone intertropicales restera très élevée pendant toute l’année et pourra générer des cyclones très violents pendant toute l’année.
Actuellement les cyclones sont peut être plus rares mais on constate déjà que la saison cyclonique commence plus tôt et finit plus tard , et si on ne peut ralentir le réchauffement climatique ,la fonte des glaces va s’accélérer et les cyclones seront plus nombreux et pourront se former toute l’année .