L’art au service de l’environnement

Une sculpture pour interpeller sur la crise climatique

30 septembre 2021

L’artiste hyperréaliste mexicain Ruben Orozco a exposé son oeuvre intitulée “Bihar” (“Demain” en basque). Elle pousse les habitants à réfléchir aux conséquences de leurs actes sur l’environnement.

Réalisée dans le cadre d’une campagne menée par la fondation BBK -la branche caritative du prêteur espagnol Kutxabank- pour faire prendre conscience aux gens que "leurs actions peuvent nous faire couler ou nous maintenir à flot", a déclaré l’artiste au site d’information espagnol, Nius.

Suivant les marées montantes et descendantes, le visage en fibre de verre de 120 kilos est continuellement submergé et découvert chaque jour. Le visage a des dimensions de 2,50 mètres de profondeur, 1,92 mètre de large et 1,69 mètre de haut.

Réalisée en un peu moins de 3 mois, cette œuvre « vivante » est installée dans une structure en béton et fer d’environ 3,5 mètres de profondeur et 3 tonnes de poids.

Cette oeuvre est une réflexion sur ce qui pourrait arriver "si nous continuons à parier sur des modèles non-durables", a indiqué la fondation BBK. "Conçu pour refléter l’évolution constante du temps représenté à travers la montée et la descente des marées, Bihar est avant tout une sculpture engagée dans l’expression de toute une génération future", a souligné TendenciaHoy.

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