
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Identité sonore et Nouvelles Technologies
23 janvier 2007
Festive, délassante, entraînante, émouvante, les vertus de la musique sont nombreuses. On lui reconnaît aisément de facilité, l’apprentissage chez les jeunes, véritable thérapie dans certain cas, elle est également utilisée afin d’optimiser le confort d’achat (mais pas uniquement).
Elément essentiel de la communication émotionnelle, facilement mémorisable, le son est très largement utilisé désormais dans les campagnes de communication multimédia.
Festive, délassante, entraînante, émouvante, les vertus de la musique sont nombreuses. On lui reconnaît aisément de facilité, l’apprentissage chez les jeunes, véritable thérapie dans certain cas, elle est également utilisée afin d’optimiser le confort d’achat (mais pas uniquement).
Elément essentiel de la communication émotionnelle, facilement mémorisable, le son est très largement utilisé désormais dans les campagnes de communication multimédia.
L’objectif : parvenir à associer une image et un son, créer une identité sonore qui révèlera l’image de l’entreprise, différenciera une marque de sa concurrente mais également renforcera le réalisme ou l’identité d’un concept novateur.
Designer sonore
Spécialiste de la communication sonore, responsable de l’esthétique sonore des objets industriels, compositeur et créateur d’univers musicaux de marques, le designer sonore est un métier ayant largement le vent en poupe actuellement.
Si la sensibilité et l’éducation auditive et musicale s’avèrent indispensables, une excellente maîtrise des logiciels informatiques et du montage son, l’est également.
Un petit détour au sein d’une agence de communication s’imposait.
Afin de mieux connaître les enjeux liés à l’utilisation croissante du son dans les campagnes de communication multimédia, Christine Niox-Château (Chargée de mission à l’Artic) est allée à la rencontre de Joane Adam (Directrice de l’agence Young et Rubicam).
Christine Niox-Chateau : Pourriez vous nous rappeler votre vocation et comment s’insèrent la création et l’intégration d’environnements sonores dans les campagnes de communication multimédia ?
Joane Adam : Nous sommes une agence de conseil en communication globale et intervenons sur tous les supports : audiovisuel (spot TV), radio, affichage 4x3, multimédia, presse écrite, etc...
Nous connaissons l’importance de multiplier les vecteurs de communication (en associant créativité et cohérence) car c’est leur interaction qui permettra une combinaison optimale dans la diffusion du message de l’annonceur auprès de sa cible : son client potentiel.
Notre expertise nous permet de développer des moyens média et hors média (marketing direct, promotion des ventes, sponsoring, événementiel, ...) afin d’atteindre le cœur de cible de nos clients.
Si la TV, la radio et l’affichage 4x3 sont des moyens forts de communication ils n’en demeurent pas moins classiques.
Pour qu’une publicité se démarque de ses concurrentes elle doit avoir un impact fort auprès du consommateur : elle doit parvenir à le toucher, l’interpeller, le surprendre.
C’est ici qu’intervient (entre autre) le design sonore : l’association du son et de l’image va donner tout son relief au message : provoquer l’émotion en touchant l’affectif.
La problématique d’une enseigne telle une banque (ou assurance) ne sera pas la même qu’une marque de vêtement (« street wear »). Par exemple si la banque s’appuie sur une composition musicale consensuelle, intergénérationnelle et rassurante, à l’inverse la marque de « street wear » privilégiera une musique extrêmement dynamique et moderne car elle s’adressera avant tout à une tribu. Elle va toucher, elle, une communauté de personnes restreinte qui doit pouvoir s’identifier et reconnaître ses codes.
CNC : Dans quel contexte se trouve t-on à la Réunion ?
JA : Nous en sommes encore aux prémisses, mais à la Réunion comme en métropole, le design sonore est une évidence : il s’agit d’un véritable levier en terme de communication puisqu’il va renforcer une identité visuelle.
CNC : l’annonceur a-t-il conscience de l’existence et de la pertinence de ces outils (afin d’optimiser ses campagnes de communication) ? y a-t-il une demande ?
JA : l’agence a définitivement un rôle de conseil en ce sens. Elle doit proposer et orienter la communication au mieux des intérêts de son client.
Les clés de la réussite résident dans la cohérence et la créativité : l’association, la fusion entre l’image et le son : l’image et la mélodie deviennent indissociables en provoquant l’émotion : une madeleine de Proust en quelque sorte.
Concernant la demande locale, il n’y a pas encore un réflexe de créer une bande sonore sur mesure qui véhiculerait les valeurs d’une entreprise Réunionnaise ou d’une marque mais c’est à nous de proposer et montrer la combinaison gagnante de ce duo à nos clients.
CNC : Quelle est votre démarche et comment vous inscrivez vous dans le paysage de la communication réunionnaise ?
JA : Nous sommes conscients de l’importance de la capacité à différencier un message d’un autre en suscitant l’émotion. Nous intégrons désormais le design sonore au même titre que la création graphique et visuelle.
L’identité d’une marque se construit grâce à l’identité visuelle et sonore, on ne peut plus aujourd’hui les dissocier.
CNC : Pourquoi avez-vous souhaité intégrer cette expertise au sein de votre agence ?
JA : c’est une évidence. Le design sonore est un vecteur de communication indispensable, nous nous devons de le proposer au client.
Les marques misent désormais sur le son pour se distinguer de leurs concurrents. Les recherches en ce sens s’intensifient et les résultats restent secrets...
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