
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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Selon la Banque mondiale
6 juin 2007
Pour la Banque mondiale, les engagements en faveur d’un développement plus solidaire pris par les pays les plus riches du monde lors de leur dernier sommet sont loin d’être tenus. Et de souligner que les pays africains font pour leur part des efforts pour créer un environnement plus favorable aux investissements internationaux.
Les pays riches ne tiennent pas leurs promesses pour l’aide à l’Afrique et l’ouverture de leurs marchés aux exportations africaines, a dénoncé la Banque mondiale (BM) dimanche.
Cet avertissement de la BM survient avant la tenue à Heiligendamm en Allemagne, du 6 au 8 juin, du sommet des pays du G8 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon, Russie). Ces pays s’étaient engagés, lors du sommet de juin 2005 à Gleneagles (Écosse), à augmenter leur aide annuelle pour le développement de l’Afrique à 50 milliards de dollars en 2010.
Or les montants accordés aux programmes de développement pour de nombreux pays africains sont restés quasiment inchangés depuis.
Selon les estimations de la BM, les flux d’aide publique ont baissé de 35,8 milliards de dollars en 2005 à 35,1 milliards en 2006. « Les chiffres disponibles jusqu’à maintenant montrent qu’à part la réduction de la dette, les pays Africains n’ont pas engrangé les résultats des promesses faites lors du sommet du G8 il y a trois ans à l’occasion de l’année de l’Afrique », affirme John Page, chef-économiste de la Banque mondiale pour l’Afrique.
« De nombreux pays donateurs ont accru leur aide pour l’assistance humanitaire et la réduction de la dette ces quarante dernières années mais cela ne s’est pas traduit par des ressources supplémentaires pour les pays africains afin de rebâtir leurs infrastructures, former des enseignants et combattre le sida et la malaria », a-t-il souligné.
Pourtant, les pays africains ont fait de leur côté d’importants progrès en matière de gestion des affaires publiques et pour créer un environnement plus favorable aux investissements internationaux, a-t-il constaté. « La question n’est pas tant de savoir si les partenaires africains tiennent leurs promesses que de se demander si les pays riches tiennent les leurs. »
M. M.
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