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Pour la sécurité alimentaire et le développement
5 mai 2014
Les ministres africains de l’Agriculture ont lancé vendredi un appel continental pour une révision des politiques d’agriculture afin de lutter de manière effective contre la faim.
« Le principal collaborateur à la production alimentaire sera l’agriculteur africain. Les dirigeants africains devront être attentifs en ce qui concerne leurs politiques locales », a déclaré Ibrahim Mayaki, le directeur général du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD).
La réunion ministérielle a plaidé pour la révision des stratégies conduisant vers la croissance verte, a cherché de nouvelles réflexions vers une industrie poussée par le secteur agricole.
Les ministres de l’Agriculture et du Commerce se sont rencontrés vendredi pour préparer une feuille de route pour le sommet de l’Union africaine (UA) qui doit se tenir le mois prochain à Malabo, en Guinée Equatoriale.
Les pays africains ont largement conduit une croissance économique à travers une base agricole tirée d’un plan de l’UA.
Le programme global de développement de l’agriculture africaine (CADAP) a cherché un financement expansif de l’agriculture, de l’irrigation et de la construction de routes pour booster le secteur.
En janvier, une rencontre au sommet à Addis-Abeba a déclaré 2014 "Année de l’agriculture et de la sécurité alimentaire", prévoyant de débattre du sujet à Malabo.
« Nous devons d’abord penser à améliorer la production alimentaire locale avant de pouvoir produire de la nourriture pour les autres », a déclaré M. Mayaki.
Le ministre d’Etat éthiopien de l’Agriculture, Sileshi Getahun, a déclaré qu’après des années d’investissement dans l’agriculture, son pays était en train de recentrer son attention sur la commercialisation de l’agriculture à petite échelle.
« La stratégie agricole conçue par le gouvernement placera des efforts importants dans le soutien pour l’intensification des produits agricoles commercialisables à la fois pour les marchés locaux et pour l’exportation", a déclaré M. Sileshi au cours de la réunion ministérielle.
L’Ethiopie croit que la commercialisation à petite échelle des produits améliorera la croissance du secteur.
Ce pays est également en train d’implanter des plans pour promouvoir les investissements privés dans les grandes exploitations commerciales dans les régions aux vastes parcelles de terre.
« L’agriculture comporte beaucoup de goulots d’étranglement systémiques », a déploré M. Sileshi, soulignant les effets du plan vieux de dix années sur la production agricole.
« Quand bien même vous essayez d’augmenter la productivité, l’agriculteur produit pour la consommation locale. Nous devons soutenir l’agriculteur pour qu’il produise des cultures qui ont de grandes perspectives pour de la valeur ajoutée », a ajouté M. Sileshi.
L’Ethiopie est l’un des pays les plus vigoureusement applaudis pour avoir de manière effective implanté le CAADAP, résultant en une surproduction agricole dans la plupart des cas.
La surproduction a surtout permis la baisse des prix des produits sur le marché, indique-t-on.
Le commissaire de l’UA pour l’économie rurale, Rhoda Tumusiime, qui a présidé la réunion conjointe ministérielle sur l’agriculture, le commerce et le plan urbain, a déclaré qu’il y avait un besoin de politiques pour résoudre les problèmes.
Le CAADAP a propulsé l’implantation de programmes de production agricole au niveau des pays et a aidé à augmenter le financement des donateurs, mais nous avons besoin d’exploiter le potentiel total », a-t-il déclaré à la presse.
Le CAADAP a été d’abord approuvé par l’UA à Durban, en Afrique du Sud en 2003 comme faisant partie du plan du NEPAD pour une transformation radicale de l’économie africaine.
M. Mayaki a indiqué que le plan a relancé les plans agricoles et a attiré des connaissances techniques dans le secteur.
« Durban 2003 a été une révolution politique pour l’agriculture. Malabo doit être une révolution pour l’avenir de l’agriculture », a-t-il dit.
Selon le NEPAD, la production agricole a augmenté en moyenne de 10 % depuis le lancement du CAADAP, il y a une décennie, par rapport aux 2% de taux de croissance enregistrés par le continent auparavant.
« Nous sommes en train d’assurer que les politiques continentales sont le reflet des besoins des populations africaines. Nous mettons en priorité une agriculture productive. Nous devons mettre fin à la période de la houe et adopter la technologie », a affirmé M. Tumisiime.
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