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Clôture du sommet de l’O.I.F. au Burkina-Faso
29 novembre 2004
(Page 16)
La clôture du dixième sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), samedi à Ouagadougou, capitale du Burkina-Faso, a été marquée par l’adoption d’une Déclaration finale dite "de Ouagadougou" qui prend en compte diverses questions dont celle du développement durable. Les chefs d’Etat et de gouvernement de la Francophonie estiment qu’il est urgent de mettre en oeuvre le consensus visant un financement largement amélioré du développement durable.
Ils dressent, par ailleurs, un constat selon lequel la mondialisation a creusé des écarts économiques et sociaux entre les pays et en leur sein, soulignant que les pays les moins avancés peinent à profiter de la croissance mondiale et des nouvelles technologies. Ils se sont engagés à mettre en place des politiques appropriées pour assurer une exploitation et une gestion durable des ressources.
À cet effet, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’OIF ont promis d’accroître leurs efforts en vue de sauvegarder la diversité biologique des forêts et de renforcer la lutte contre la désertification. Concernant la sécurité alimentaire, l’accès à l’eau potable et l’énergie durable, les dirigeants francophones ont manifesté leur volonté d’œuvrer au renforcement des cadres institutionnels et réglementaires.
Sur le plan économique, la Déclaration indique que les chefs d’Etat et de gouvernement entendent renforcer la solidarité économique en faveur du développement et encourager l’exploration de nouveaux modes de partenariat entre financements publics et privés.
Concernant le commerce international, les dirigeants ont invité les responsables gouvernementaux et le secteur privé francophone à témoigner réciproquement d’une solidarité plus concrète à l’occasion des négociations commerciales internationales pour diminuer la vulnérabilité des producteurs du Sud sur les marchés mondiaux. Les pays francophones soutiennent l’initiative prise par la France, le Brésil, l’Espagne et le Chili sur la nécessité d’instaurer une taxe internationale pour compléter l’aide publique au développement et souhaitent l’établissement d’une "facilité financière internationale" en faveur des pays pauvres.
Pour les 35 chefs d’Etat et de gouvernement ayant pris part au sommet de Ouagadougou, le développement est fondé sur la démocratie, l’Etat de droit et le respect des droits humains. À cet effet, ils ont pris l’engagement de coopérer avec la Commission des droits de l’Homme de l’ONU, notamment avec les rapporteurs spéciaux et groupes de travail de cette commission.
À cet égard, ils ont encouragé le secrétaire général de l’OIF, Abdou Diouf, à persévérer dans ses efforts visant à appuyer l’instauration et le développement de la démocratie, la prévention des conflits et le soutien à l’Etat de droit ainsi qu’aux droits de l’homme.
La Déclaration de Ouagadougou souligne, en outre, que les dirigeants francophones sont "préoccupés" par l’impact dévastateur en Afrique des maladies endémiques, tels que le VIH/SIDA, le paludisme et la tuberculose, et s’engagent à se mobiliser "de manière significative" pour les enrayer. Les dirigeants francophones se sont également engagés à travailler pour éradiquer la poliomyélite d’ici à 2005. Concernant la diversité culturelle et linguistique, l’OIF refuse de laisser réduire les biens et services culturels au rang de simples marchandises. A cet effet, elle se déclare résolue à soutenir l’élaboration, à l’UNESCO, d’une "Convention internationale sur la protection de la diversité des contenus culturels et des expressions artistiques" en vue de son adoption dès 2005, de sa ratification rapide et de sa mise en œuvre effective.
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