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Publication d’un rapport de l’OIT le jour de l’ouverture de la conférence mondiale
12 juillet 2004
Dans les pays du Sud, le coût humain du SIDA se double d’un coût économique et social : quelque 28 millions de personnes exerçant une activité professionnelle mourront du VIH d’ici la fin de l’année prochaine dans le monde, freinant la croissance économique et imposant une pression considérable sur les autres travailleurs dans les pays les plus pauvres, selon un rapport de l’Organisation internationale du Travail publié hier.
L’Afrique subsaharienne aura perdu 12% de sa main-d’œuvre d’ici 2015 du fait de l’épidémie de SIDA, sur la base des taux actuels de contamination, selon ce rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT), rendu public à l’occasion de l’ouverture de la conférence internationale sur le SIDA à Bangkok. Dans le seul Zimbabwe, pays le plus touché par la maladie, ce chiffre aura atteint 40% à cette date.
Globalement, depuis l’apparition de l’épidémie au début des années 80, le nombre de morts du SIDA aura atteint 74 millions d’ici 2015 dans le monde, selon une estimation de l’OIT, agence onusienne basée à Genève.
"Le SIDA/VIH n’est pas seulement une crise humaine, c’est une menace à un développement économique et social global et durable", explique Juan Somavia, directeur général de l’OIT. "Les pertes de vies humaines et les effets affaiblissants de la maladie conduiront non seulement à une capacité réduite de maintenir le niveau de production et d’emploi, de réduire la pauvreté et de promouvoir le développement, mais seront aussi un poids porté par toutes les sociétés, riches comme pauvres".
Ce rapport d’une centaine de pages intitulé "SIDA/VIH et Travail" évalue à 36,5 millions le nombre actuel de personnes séropositives ou malades exerçant une activité professionnelle ou contribuant à l’économie de leur pays.
Sur ce nombre, quelque deux millions de personnes seront empêchées, à un moment ou un autre, de travailler en raison de leur maladie d’ici l’année prochaine et deux autres millions de personnes devront carrément abandonner leur activité professionnelle pour se soigner.
Entre 1992 et 2002, le produit intérieur brut (PIB) de l’ensemble des pays de la planète a été inférieur de 25 milliards de dollars (20 milliards d’euros) à ce qu’il aurait été sans la pandémie de SIDA, selon l’étude.
La mort ou l’infirmité des salariés a un impact démultiplié dans les communautés les plus pauvres, où les enfants doivent parfois renoncer à l’école et où les foyers ruraux produisent moins de nourriture.
L’impact sur la main-d’œuvre est tel que les employeurs commencent à se rendre compte que les soins et les traitements, tout comme les programmes de prévention sur les lieux de travail, reviennent moins cher que le coût des arrêts-maladie des salariés contaminés.
Ainsi, depuis l’année dernière, la compagnie minière Anglo-American a décidé de fournir des médicaments antirétroviraux à ses salariés séropositifs en Afrique du Sud et espère voir le taux de mortalité chuter de 30% à 3,4% dès la première année d’application, ainsi que l’absentéisme. "Généralement, l’attitude (des employeurs) est de dire qu’il est plus avantageux de prendre en charge les traitements", souligne Odile Frank, l’auteur du rapport.
(Source : “Matin Internet”)
Ouverture de la conférence internationale sur le SIDA
La 15ème Conférence internationale sur le SIDA ayant pour thème "L’accès aux soins pour tous" s’est ouverte hier à Bangkok, capitale de la Thaïlande.
Plus de 200.000 délégués venus de 160 pays doivent participer à cette plus grande conférence jamais organisée sur le SIDA.
Les participants doivent discuter notamment à Bangkok des moyens de financer les programmes anti-SIDA en vue de permettant à tous les malades d’avoir l’accès aux soins.
Trois importants programmes devraient être examinés à cette occasion, à savoir le programme scientifique qui met l’accent sur les traitements antirétroviraux ; le programme communautaire qui souligne l’importance de la participation communautaire dans la prévention, les soins et le traitement, ainsi qu’un programme global sur le leadership dans la lutte contre le SIDA dans le monde.
C’est la première fois que la conférence internationale sur le SIDA se tient en Asie du Sud-est.
Près de 38 millions de personnes sont porteuses du VIH/SIDA dans le monde, dont 25 millions en Afrique subsaharienne et plus de 6 millions en Asie du Sud et du Sud-est, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Dans les pays à faibles et moyens revenus où 5,5 millions de malades du SIDA ont un besoin urgent de traitements, seulement 440.000 ont accès aux anti-rétroviraux, dont 150.000 en Afrique ( besoins estimés à 3,8 millions de personnes), 220.000 en Amérique latine (pour 410.000 malades le nécessitant) et 40.000 en Asie du Sud-est (besoins estimés à 860.000), indique l’OMS.
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Messages
10 janvier 2010, 17:21, par daouda
je m’appel coulibaly daouda je suis en classe de 5eme2 au lycée saint gilbert de djago et je suis à la recherche des documants qui montres les concequances du sida dans le monde pour un devoire