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La course au profit détruit des biens précieux pour l’humanité
1er octobre 2015
Près d’un tiers (31%) des sites du Patrimoine mondial naturel est menacé par l’exploration pétrolière, gazière ou minière, d’après les conclusions du rapport Safeguarding Outstanding Natural Value, réalisé par WWF, Aviva Investors et Investec Asset Management. Ce chiffre passe même à près de deux tiers (61 %) pour les sites africains.
Recouvrant moins de 1 % de la surface du globe mais renfermant une valeur naturelle exceptionnelle en termes de paysages et d’espèces emblématiques - gorilles de montagne, éléphants d’Afrique, léopards des neiges, baleines et tortues marines - les sites du Patrimoine mondial naturel sont de plus en plus menacés par l’exploration et les dommages irréversibles qui en découlent et portent préjudice aux communautés dont la survie dépend.
S’il fait état d’un risque élevé pour des sites tels que le Grand Canyon, la Grande Barrière de corail ou encore de la Réserve de Selous en Tanzanie, le rapport met aussi en lumière le risque, financier ou réputationnel, encourus par les investisseurs lorsqu’ils soutiennent des entreprises extractives travaillant, ou envisageant de le faire, à proximité ou au sein de ces sites.
Le WWF appelle par conséquent les investisseurs, sur la base du rapport, à engager le dialogue avec l’ensemble des acteurs du secteur extractif et, ainsi, poursuivre un double objectif : les encourager à ne plus intervenir ni exercer de pression sur les sites naturels du Patrimoine mondial, et les amener à communiquer proactivement sur leurs opérations actives, existantes ou prévues au sein ou à proximité de ces sites.
Face à ce constat alarmant, il est nécessaire de soutenir un développement alternatif et durable des sites du Patrimoine mondial naturel pour préserver les ressources naturelles et l’Humanité et procurer des bénéfices à long terme : 93 % des sites naturels du Patrimoine mondial représentent un intérêt touristique et 91 % ont permis ou permettent de créer des emplois.
Pierre Cannet, responsable du programme Climat et Energie au WWF France : « Alors que les experts affirment que 2/3 des réserves d’énergies fossiles prouvées doivent rester dans les sols si l’on souhaite éviter un dérèglement climatique hors de contrôle, les choix des compagnies extractives implantées sur les sites classés constituent une absurdité du point de vue environnemental mais aussi économique et social. Lorsque des joyaux du patrimoine mondial sont menacés, c’est l’humanité qui est visée en son cœur. Les investisseurs ont une responsabilité et un rôle clef à jouer pour éviter de tels errements. Dans la perspective de la COP21, le WWF les appelle à encourager les entreprises extractives à ne pas opérer sur ces sites et à faire transparence sur les données. »
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