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Le CTR au Salon international du tourisme de Berlin
15 mars 2006
La présidente du CTR est actuellement au Salon international du tourisme de Berlin (ITB), l’un des plus grands du monde qui réunit des professionnels européens et internationaux. Jocelyne Lauret constate une différence de perception des autres professionnels et opérateurs européens à l’égard de la destination Réunion par rapport à celle de la France. L’information reste un enjeu fort de développement pour le secteur.
Si les ministres du Tourisme et de l’Outre-mer n’ont pas honoré de leur présence notre stand local, “Terroir Réunion”, au Salon de l’agriculture, les visiteurs ont en revanche été nombreux, attirés par les prestations locales mais aussi intrigués par l’épidémie de chikungunya.
Messages d’amitié
"Cela s’est très bien passé", confirme Jocelyne Lauret, "les prestataires présents ont manifesté une volonté très forte de valorisation de La Réunion". Produits du terroir, savoir-faire, gastronomie et musique péi ont séduit beaucoup de visiteurs qui n’ont pas manqué de s’informer sur la réalité de l’épidémie, de la gestion de la crise sanitaire. Les hôtesses, très bien préparées sur le sujet, ont reçu en échange beaucoup d’encouragements, de messages d’amitiés. La solidarité n’a pas été jusqu’à l’engagement d’un voyage dans notre île... Il faut encore un peu de temps. Le passage du ministre de l’Agriculture, Dominique Bussereau, sur le stand de La Réunion a été l’occasion de mettre en avant la filière d’exportation agricole, d’insister sur le rôle de relais que pourrait jouer la France dans le développement de cette filière. Un échange positif face à un ministre séduit par nos prestations.
Clarté et vérité
Au Salon international du tourisme de Berlin, qui se déroule en ce moment, Jocelyne Lauret constate moins de réticence de la part des professionnels du tourisme et des autres opérateurs étrangers. "Il y a une réelle différence entre la perception des autres pays européens et de la France. On sent par exemple chez les tours opérateurs allemands une volonté plus forte de continuer à vendre la destination Réunion". Les agences de voyage qui bénéficient peut-être d’une information plus tardive, moins complète sur l’épidémie, se posent malgré tout beaucoup de questions. Dans le doute, elles annulent La Réunion ou dirigent la clientèle vers d’autres DOM. "Nous devons fournir un maximum d’informations si nous voulons convaincre les agences et leur clientèle", commente Jocelyne Lauret. L’effort de communication est donc à poursuivre et à élargir avec le souci constant de la plus grande transparence. L’Organisation mondiale du tourisme, qui a diffusé un film aux professionnels rassemblés à Berlin sur la menace mondiale de la grippe aviaire, préconise d’ailleurs la plus grande clarté et vérité des messages d’informations et de recommandations en période de gestion de crise sanitaire. Cette diffusion a beaucoup parlé à Jocelyne Lauret qui note que le scénario proposé ressemble beaucoup à celui que vit déjà La Réunion.
Donner l’exemple
Si l’on considère que le chikungunya est une menace maîtrisée parmi tant d’autres à l’échelle mondiale, tout n’est pas négatif. Il faut communiquer et informer à plus grande échelle pour que La Réunion, isolat géographique dans l’océan Indien, ne soit pas un isolat sanitaire. Son expérience doit être positivée dans ce qu’elle a d’enrichissant pour les autres pays en termes de gestion de crise. Le coup porté par les grosses compagnies aériennes montre que si l’on ne peut rien contre le système libéral, la logique commerciale, on peut toujours espérer, selon la présidente du CTR, "rentrer dans une logique de développement". L’effort doit être partagé, reste à bénéficier des mesures d’aides adaptées pour permettre une réactivation rapide du secteur touristique, de l’économie dans son ensemble. Là encore, La Réunion pourrait offrir un exemple de courage susceptible d’attirer la sympathie des visiteurs.
Estéfani
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