
Toujours pas de solution trouvée entre planteurs et usiniers
16 juilletFaute d’accord trouvé au Comité Paritaire de la Canne et du Sucre (CPCS), une nouvelle réunion aura lieu le 16 juillet siège du CTICS.
Fortes coupes budgétaires en perspectives
9 septembre 2024
Interrogé sur TF1 sur le déficit public abyssal, qui devrait se creuser encore à 5,6% du PIB cette année, le premier ministre ne va pas poursuivre les dérapages des gouvernements précédents.
Le nouveau premier ministre Michel Barnier a fixé parmi ses priorités de revaloriser le travail et ne pas augmenter la dette de la France, dans sa première interview sur TF1.
Interrogé sur le déficit public abyssal, qui devrait se creuser encore à 5,6% du PIB cette année, le nouveau premier ministre a indiqué que « face à cette urgence, je ne m’interdis pas une plus grande justice fiscale ».
« Je vais (m’) efforcer, avec les différents ministres qui seront nommés, de mieux maîtriser, de mieux utiliser l’argent public et de m’appuyer sur des services publics, parce que nous avons besoin de services publics efficaces », a-t-il ajouté.
« Il faut aussi de la croissance, la croissance (...) elle ne tombe pas du ciel, elle ne vient pas de l’administration, elle vient des entreprises, petites grandes ou moyennes, des agriculteurs, des pêcheurs, de notre commerce extérieur, du rôle des Français de l’étranger (...), de nos départements et de nos régions d’outre mer », a indiqué Michel Barnier.
Le chef du gouvernement a évoqué les services publics qui « sont aussi un besoin immense dans les quartiers urbains, mais dans les campagnes aussi », reprenant ainsi les grandes lignes du « pacte législatif » présenté par son parti Les Républicains en juillet, dont il a besoin du soutien à l’Assemblée.
« Je pense aux déserts médicaux et je pense naturellement à la santé et au logement », a-t-il affirmé, ajoutant la dette écologique dans ses priorités. Michel Barnier a deux ans pour mettre en place ses nouvelles mesures, sauf si ce dernier fait face à une motion de censure. Pour l’heure, tous les regards se tourne sur la liste des ministres qui seront présentés.
Faute d’accord trouvé au Comité Paritaire de la Canne et du Sucre (CPCS), une nouvelle réunion aura lieu le 16 juillet siège du CTICS.
Dabitid, bann Ti-blan dan lé-o i inm pa tang. Sé lidé ! Pars in bon kari tang, na poin rien lé pli bon k’ sa ! Antouka, po Tikok, sé son méyèr (…)
Avec un total de 1 549 000 nuitées en 2024, la fréquentation dans les hôtels et autres hébergements collectifs touristiques de La Réunion est (…)
Mézami mi koné pa si mo-la demoune i ansèrv ankor zordi mé si i ansèr pi lé bien domaz. Pars kaloubadia sa sé in pti trafik wi fé san fé romarke (…)
En 2024, le trafic aérien est quasi stable (+0,5 %), avec 2,7 millions de voyageurs accueillis dans les aéroports de La Réunion. Les liaisons (…)
Les efforts demandés pour faire des économies ont été relevées de 40 milliards à 43,8 milliards d’euros à cause d’« une situation qui s’est (…)
Le Parti communiste Chinois (PCC) est né le 23 juillet 1921, à Shanghai, dans la partie colonisée par la France. Le 1er octobre 1949, Mao proclame (…)
Sept prix Nobel d’économie ont appelé à mettre en place un impôt minimum sur les patrimoines des plus riches. Parmi les signataires de cette (…)
La commission d’enquête sénatoriale sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises a rendu son rapport le 8 juillet, après six mois (…)
Quelques jours avant la tenue du CIOM à Paris, à Saint-Benoît, une centaine d’acteurs politiques (PS-EELV-PCR-Banian-Ansanm-Place Publique), (…)
Le Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO, réuni à Paris, a décidé de retirer trois biens situés à Madagascar, en Égypte et en Libye de la Liste (…)
La réunion du Comité interministériel des Outre-mer (CIOM) organisée le 10 juillet par le gouvernement à Paris, sans la présence des élus locaux, (…)