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Economie du numérique
15 février 2019
Mardi à Saint-Denis, une conférence sur ce nouveau type de monnaie a décrit comment elles peuvent changer le fonctionnement des transactions financières.
La révolution technologique amorcée par la blockchain serait comparable à celle de l’internet dans la fin des années 1990. Tel est en substance le message porté par les animateurs d’une conférence sur le sujet qui s’est déroulée ce mardi 12 février à Saint-Denis. Organisée par la CPME en partenariat avec Digital Réunion, l’événement a attiré près de 150 participants. Parmi eux des chefs d’entreprise, salariés, étudiants et geeks sont venus découvrir ou approfondir leur connaissance de cette technologie. Associée surtout à l’émergence des cryptomonnaies, la blockchain laisse en réalité présager un large bouleversement des usages.
« Deuxième révolution numérique », « uberisation ultime », « machine à confiance », « smart contracts »… Les champs d’application de la blockchain ont fait l’objet de débats enrichis par une présentation de Marc Agouni, gérant de la société Token Asset, ainsi que par l’intervention en visio-conférence de Georges Edouard Dias, enseignant à HEC Paris et co-fondateur de Quantstreams, start-up suisse spécialisée en marketing.
La promesse de la blockchain est majeure : des transactions instantanées à des coûts minimes et sans organe central de contrôle. Cette technologie aurait le potentiel de changer les règles du jeu dans de nombreux secteurs économiques, à commencer par le système bancaire. Au-delà des implications économiques, une profonde transformation sociétale est même annoncée.
« C’est un outil fantastique de traçabilité et donc de confiance », estime Sébastien Briet, directeur de la commission numérique et innovation de la CPME Réunion. « L’innovation est créatrice de valeur, et c’est une révolution que nous, chefs d’entreprise, nous devons prendre très au sérieux. Notre rôle au sein de la CPME est d’informer et d’accompagner les entreprises dans cette mutation numérique qui est devenue aujourd’hui indispensable au fonctionnement des organisations ».
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