
Kèl volonté zénéral ! In pé la boir kossa !
30 juin, parMézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
Référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne
28 avril 2016
Une sortie britannique de l’UE saperait instantanément la confiance et engendrerait des incertitudes qui se traduiraient par un PIB inférieur de 3 % à l’horizon 2020, soit 2 200 GBP par foyer. Dans une nouvelle étude publiée aujourd’hui, l’OCDE conclut déjà à une accumulation de coûts de cette nature.
Le choc que subirait le niveau de vie équivaudrait dans les faits à un « impôt Brexit » permanent prélevé sur les ménages, indique l’OCDE. Dans un discours de présentation de ces analyses à la London School of Economics, le Secrétaire général de l’OCDE Angel Gurría a estimé : « Quitter l’Europe serait synonyme d’un impôt Brexit pour les générations à venir. Au lieu de financer des services publics, cet impôt constituerait une perte sèche dépourvue de tout bénéfice économique ».
Le Royaume-Uni pâtirait de la perte du libre accès au marché unique. Il se trouverait en outre confronté à de nouveaux obstacles sur nombre de marchés de pays tiers auxquels il perdrait l’accès préférentiel du fait de sa sortie de l’UE – même s’il parvenait à négocier un nouvel accord commercial avec l’Europe. Les entrées de capitaux risqueraient fort d’être perturbées, avec à la clé une contraction très dommageable du déficit de la balance britannique des opérations courantes qui, à 7 % du PIB, a atteint un record.
La décision de sortir de l’Union européenne provoquerait au Royaume-Uni un grave choc économique négatif et affaiblirait la croissance du PIB pendant de nombreuses années, à hauteur d’un coût annuel par foyer de 3 200 GBP en prix actuels à l’horizon 2030, voire de 5 000 GBP selon le scénario le plus pessimiste de la nouvelle étude de l’OCDE.
Selon cette étude, le fait de ne plus être dans l’UE pèserait encore davantage sur les échanges, l’investissement direct étranger et la productivité.
Les effets de contraction à plus long terme que le Brexit aurait en matière de progrès technique, de migrations et de capitaux font l’objet de projections sur la base de trois scénarios – optimiste, central et pessimiste. Dans le scénario optimiste, l’impact négatif sur le PIB avoisine 2,7 % à l’horizon 2030 ; mais il dépasse 7,5 % dans le scénario pessimiste. Dans le scénario central, le PIB du Royaume-Uni serait inférieur de plus de 5 % à celui attendu si le pays demeure dans l’UE. Ce déficit de PIB équivaut à 3 200 GBP par foyer.
À 0,3 %–0,4 % du PIB par an, les transferts nets vers le budget de l’UE seront relativement limités dans les années à venir, et les économies tirées d’une baisse de ces transferts seraient plus que contrebalancées par l’impact du ralentissement de la croissance du PIB sur la position budgétaire. On estime que le déficit budgétaire augmenterait de 0,9 point de pourcentage de PIB d’ici 2019.
L’étude signale par ailleurs que le coût estimé d’un Brexit ne prend pas en compte le surcroît potentiel de croissance du PIB lié au maintien dans une UE dont l’expansion du marché unique stimule les échanges et les investissements directs étrangers.
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