
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Pour la BCE, il faut réduire l’inflation coûte que coûte
29 août 2022
Une membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE) a assuré que les banques centrales devaient agir avec "détermination" pour combattre l’inflation, "même au risque d’une croissance plus faible et d’un chômage plus élevé".
Face à "la voie de la prudence", il faut défendre "celle de la détermination" qui consiste à "réagir avec plus de force à la poussée actuelle d’inflation, même au risque d’une croissance plus faible et d’un chômage plus élevé", a déclaré Isabel Schnabel, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE) lors de la réunion de Jackson Hole, le 27 août aux Etats-Unis.
Selon elle, trois facteurs attestent son propos : "l’incertitude quant à la persistance de l’inflation, les menaces pour la crédibilité de la banque centrale et les coûts potentiels d’une action trop tardive" contre la hausse des prix.
Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, présent à cette grand-messe annuelle des banquiers centraux dans l’Ouest américain, a lui aussi défendu une action déterminée de la BCE.
"Nous pouvons avoir une approche graduelle, mais nous ne devons pas être lents et retarder la normalisation (de la politique monétaire, NDLR) jusqu’à ce que des anticipations d’inflation plus élevées nous obligent à des relèvements de taux agressifs", a-t-il expliqué.
"Ramener l’inflation à 2% est notre responsabilité ; notre volonté et notre capacité à tenir les engagements de notre mandat ne sont pas négociables", a déclaré François Villeroy de Galhau, selon son discours lu par l’Agence France Presse.
Le 26 août, le président de la Réserve fédérale américaine, Jay Powell, a prévenu que le retour à la stabilité des prix "prendra du temps" et "entraînera une longue période de croissance plus faible". La hausse des prix à la consommation dans la zone euro a atteint en juillet le niveau record de 8,9% sur un an.
Pour faire face à l’inflation, la Banque centrale européenne (BCE) a relevé fin juillet d’un demi-point de pourcentage ses trois principaux taux directeurs, pour les porter entre 0% et 0,75%.
Selon certains économistes, la BCE devrait à nouveau les relever lors de sa prochaine réunion de politique monétaire le 8 septembre, même si la conjoncture s’est assombrie cet été dans la zone euro.
Les grandes banques centrales souhaitent d’un côté resserrer leur politique monétaire sans pour autant précipiter le ralentissement économique, de l’autre. Mais plusieurs responsables monétaires ont estimé auprès de l’AFP que le risque d’être passif face à l’inflation est plus grand que celui d’agir avec des des hausses de taux marquées.
"Si une banque centrale sous-estime la persistance de l’inflation – comme la plupart d’entre nous l’ont fait au cours de la dernière année et demie – et si elle tarde à adapter ses politiques en conséquence, les coûts peuvent être considérables", a déclaré Isabel Schnabel.
Pour François Villeroy de Galhau, le taux d’intérêt directeur neutre, compatible avec une croissance de long terme équilibrée, "se situe probablement entre 1% et 2%".
En dépit de cette conjoncture complexe, tous s’accordent à dire que "au moins pour l’Europe, les perspectives de croissance pour l’an prochain ont été revues à la baisse en raison des prix de l’énergie et du gaz ainsi que de l’évolution des taux de change".
Cependant, le gouverneur de la Banque de France n’exclut pas une hausse des taux au-delà du niveau neutre. "N’ayez aucun doute qu’à la BCE, nous augmenterons les taux si nécessaire au-delà de la normalisation", a assuré le gouvernement de banque centrale française.
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