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Le numérique au service du développement de l’Afrique
19 septembre 2022
La Smart Africa Digital Academy (SADA), la branche de Smart Africa chargée du renforcement des capacités, continue d’étendre son empreinte en Afrique, la Côte d’Ivoire étant le dernier pays à bénéficier de l’initiative de développement des compétences numériques. Lancée en partenariat avec le ministère de la Communication et de l’Economie Numérique, l’initiative contribuera à développer le secteur numérique naissant du pays en fournissant des compétences numériques.
À l’occasion de ce lancement, M. Lacina Koné, Directeur Général de Smart Africa, a salué la volonté politique des gouvernements africains de transformer le paysage numérique du continent et a souligné le soutien de Smart Africa.
« Les nations reconnaissent de plus en plus le rôle des technologies numériques dans la transformation de la situation socio-économique et la détermination à les adopter est palpable. Grâce à des initiatives comme SADA, l’Alliance Smart Africa s’engage à soutenir les efforts nationaux visant à combler le déficit de compétences numériques. Nous sommes heureux de donner vie à SADA en Côte d’Ivoire, un pays important de l’alliance », a-t-il expliqué.
Représentant le gouvernement allemand, l’un des principaux donateurs de l’initiative SADA, M. Marton Köver, chargé d’affaires à l’ambassade d’Allemagne en Côte d’Ivoire, a souligné qu’ « un cadre juridique juste et équitable est essentiel pour que le plus grand nombre possible d’Africains bénéficient de la transformation numérique » — une étape que la Côte d’Ivoire a désormais franchie avec SADA.
En plus de SADA, le programme de réglementation agile pour la transformation numérique (AReg4DT) a également été lancé en collaboration avec la Banque mondiale et la GIZ.
La directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, le Bénin, la Guinée et le Togo, Mme Coralie Gevers, a également déclaré que « le renforcement des capacités et l’échange de connaissances entre les pays africains sont essentiels pour soutenir la mise en œuvre de la Stratégie de transformation numérique de l’Afrique 2020-2030 et la Côte d’Ivoire a un rôle important à jouer en partageant les connaissances entre pairs et en montrant les avantages de l’application des principes de régulation agile pour des marchés numériques dynamiques, inclusifs, durables et sûrs, comme le démontre l’adoption récente de sa Stratégie nationale de développement numérique 2025. »
Le lancement de SADA en Côte d’Ivoire annonce la mise en œuvre de divers programmes de renforcement des capacités en matière de cybersécurité, de formations avancées telles que le Big Data et l’IoT, de formation des enseignants, de formation des cadres, de formations avancées en TIC, entre autres. En outre, la Côte d’Ivoire est prête à accueillir le premier centre d’innovation en cybersécurité pour les jeunes. Actuellement, la Côte d’Ivoire est à la tête du programme phare de Smart Africa en matière de cybersécurité.
À cet égard, un protocole d’accord a été signé entre l’Alliance Smart Africa et le ministère de la Communication et de l’Economie Numérique de Côte d’Ivoire, dont l’un des éléments est la fourniture, par SADA, d’interventions spécifiques de renforcement des capacités liées aux priorités du pays dans le secteur des TIC.
S’exprimant sur le lancement de SADA, le Ministre ivoirien de la Communication et de l’Economie Numérique, M. Amadou Coulibaly, a déclaré que « SADA-Côte d’Ivoire va être un des véhicules clés de l’opérationnalisation des projets à caractère « sensibilisation et formation » du 4e pilier de la Stratégie Nationale du Numérique à l’horizon 2025 qui a pour objectif spécifique de développer et promouvoir les compétences numériques ».
En tant qu’écosystème d’apprentissage dynamique panafricain, SADA vise à améliorer les qualifications en matière de compétences numériques, l’employabilité et à répondre aux besoins en talents des citoyens africains. L’académie numérique nationale soutiendra les besoins prioritaires en compétences numériques identifiés de manière unique au niveau national. En outre, de telles académies numériques nationales seront bientôt déployées en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso, en Tunisie, au Kenya et en République Démocratique du Congo, à Djibouti et en Sierra Leone.
SADA lance également deux nouveaux programmes visant à former les jeunes, les entrepreneurs et les citoyens africains en général, afin d’accroître leurs compétences en technologie numérique, de réduire le chômage et d’augmenter les capacités d’entrepreneuriat numérique des jeunes en Afrique. Le programme SADA d’alphabétisation numérique quant à lui, permettra à tous les citoyens africains de se familiariser avec le numérique.
Depuis le début de ses activités en août 2020, en se concentrant sur Renforcement des capacités des décideurs (CBDM) et les modules de l’Académie numérique nationale, SADA a formé environ 3 000 décideurs et responsables politiques à travers 26 pays sur des sujets liés à la transformation numérique et aux technologies émergentes en vogue, notamment les cas d’utilisation de l’intelligence artificielle, l’économie numérique, la connectivité 5G, la protection des données et la confidentialité, les politiques de haut débit en milieu rural, les technologies de sécurité, les environnements de sandboxing réglementaires et innovants, les centres de données et le cloud, l’identité numérique pour les personnes mal desservies, le paiement électronique, etc. L’objectif est d’atteindre plus de 22 000 bénéficiaires formés d’ici 2023, grâce à la mise en œuvre de SADA dans les pays partenaires.
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