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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Rapport de la FAO
20 mai 2014
Jamais la pêche et l’aquaculture n’ont joué un rôle si important dans l’alimentation et les revenus d’un si grand nombre de personnes, même si des pratiques préjudiciables et une mauvaise gestion menacent la durabilité du secteur, indique un nouveau rapport de la FAO publié ce lundi.
Selon la dernière édition de la Situation mondiale des pêches et de l’aquaculture, en 2012 la production halieutique et aquacole s’est établie à 158 millions de tonnes, soit environ 10 millions de tonnes de plus qu’en 2010.
A l’origine de cet accroissement, figure l’essor rapide de l’aquaculture, comprenant les activités de petits agriculteurs.
La pisciculture offre un potentiel formidable pour répondre à la demande de nourriture associée à la croissance démographique mondiale.
En même temps, à condition d’être gérés dans une optique durable, les océans de la planète ont un rôle important à jouer pour créer des emplois et nourrir le monde, affirme le rapport de la FAO.
"La santé de notre planète, notre propre santé et notre sécurité alimentaire future dépendent de la façon dont nous traitons le monde bleu", a déclaré le Directeur général de la FAO, José Graziano da Silva.
"Pour que la prospérité durable devienne une réalité pour tous, nous devons faire en sorte que le bien-être humain rime avec le respect de l’environnement. C’est la raison pour laquelle, la FAO s’engage à promouvoir ’la croissance bleue’, fondée sur la gestion durable et responsable de nos ressources aquatiques", selon M. da Silva.
L’attention renouvelée pour ce qu’on appelle ’le monde bleu’ intervient alors que la part de la production halieutique destinée à la consommation humaine est passée d’environ 70 pour cent dans les années 80 à un record de plus de 85 pour cent (136 millions de tonnes) en 2012.
La consommation de poisson par habitant est montée en flèche, passant de 10 kg dans les années 60 à plus de 19 kg en 2012.
Le nouveau rapport souligne en outre que le poisson représente désormais près de 17 pour cent des apports protéiques mondiaux - pouvant aller jusqu’à 70 pour cent dans certains pays côtiers et insulaires.
La FAO estime que la pêche et l’aquaculture font vivre 10 à 12 pour cent de la population mondiale.
Depuis 1990, l’emploi dans le secteur a progressé plus vite que la croissance démographique.
En 2012, le secteur a employé quelque 60 millions de personnes dans le domaine des pêches de capture et de l’aquaculture, dont 84 pour cent en Asie et environ 10 pour cent en Afrique.
La production mondiale de pêches de capture marines est demeurée stable avec environ 80 millions de tonnes en 2012, indique le rapport.
Actuellement, moins de 30 pour cent des stocks de poissons sauvages qui font l’objet d’un suivi régulier par la FAO sont surexploités, signe positif d’un renversement de la tendance observée au cours des dernières années.
Un peu plus de 70 pour cent des stocks sont pêchés à des niveaux biologiquement durables dont les stocks pleinement exploités (c’est-à-dire très proches de leur rendement maximal équilibré) représentent plus de 60 pour cent et les stocks sous-exploités environ 10 pour cent.
La production aquacole mondiale a affiché un record de plus de 90 millions de tonnes en 2012, dont près de 24 millions de tonnes de plantes aquatiques, la Chine représentant plus de 60 pour cent du total.
Toutefois, le rapport prévient que pour poursuivre son essor durable, le secteur doit devenir moins dépendant à l’égard du poisson sauvage comme aliment dans l’aquaculture et varier les espèces cultivées et les pratiques.
Par exemple, les poissons de petite taille peuvent constituer une excellente source de minéraux essentiels lorsqu’ils sont consommés entiers.
Mais les préférences des consommateurs vont vers les espèces de plus grande taille, auxquelles on ôte souvent les arêtes et la tête.
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