
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
3 juillet, parUne information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
Impact d’une crise économique mondiale
11 mai 2016
La croissance économique dans la région devrait demeurer plus lente dans les années à venir qu’au cours des 10 à 15 années précédentes. La projection de référence du Fonds monétaire international (FMI) pour 2016 est désormais réduite à 3 %, alors qu’elle était estimée à 6,1 % en avril 2015(1).
Les raisons principales à l’origine d’un ralentissement relatif ne sont pas spécifiques à l’Afrique et sont les mêmes que celles qui pèsent sur l’économie mondiale : un ralentissement général de l’économie des marchés émergents et, plus particulièrement, le rééquilibrage de l’économie chinoise ; la stagnation continue de la plupart des économies développées ; la baisse des prix des matières premières et l’augmentation des coûts d’emprunt.
Cependant, bien que la croissance dans la région ait relativement ralenti, les deux tiers de l’économie de l’Afrique subsaharienne progressent toujours à des taux supérieurs à la moyenne mondiale, et la région demeurera en deuxième position en termes de rapidité de progression à l’échelle mondiale dans un avenir proche, après l’Asie émergente. Cela est également corroboré par l’augmentation sur un an du nombre de projets d’investissements étrangers directs (IDE) en Afrique en 2015, augmentation intervenue dans un contexte où le nombre total d’IDE a diminué d’environ 5 % dans le monde. En fait, l’Afrique a été l’une des deux seules régions au monde où le nombre d’IDE a progressé par rapport à l’année dernière.
Sugan Palanee, responsable du marché africain chez EY, déclare : « Du point de vue de l’investissement, les quelques prochaines années peuvent être délicates, non pas parce que les opportunités ne sont plus là, mais plutôt parce que ces opportunités sont probablement plus inégales qu’elles ne l’ont jamais été. Il est désormais plus important que jamais pour les entreprises et les investisseurs, qui mettent parfois fortement l’accent sur l’évolution de la croissance économique à court terme, d’adopter une approche factuelle et granulaire pour évaluer les opportunités d’affaires et d’investissement sur le long terme. »
Une information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
Alors que Mayotte subit un enchevêtrement de crises - pauvreté structurelle, dégradation des services publics, conséquences dramatiques du cyclone (…)
La FSU Emploi Réunion tient à rappeler que la mise en œuvre des programmes de transformation de France Travail, issus de la loi Plein Emploi, ne (…)
Mézami, zot i rapèl lo mo kazou ? Mi anparl pa bann vyé roshé konm mwin mé la zénérassion d’apré. Si mi di kazou, kossa zot i oi dann zot (…)
Une délégation du "Collectif des usagers de la ligne Réunion - Comores" a été reçue le 2 juillet à la Région, à la demande de la Présidente (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)