
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
La question de la dette
26 septembre 2009, par
Le Conseil d’Administration du FMI vient d’approuver un accord formel avec les Comores. A terme le pays pourra bénéficier d’un effacement conséquent de sa dette extérieure. Dans l’immédiat il vient de bénéficier d’un don de 21,5 millions de dollars.
Depuis plus d’une décennie les Comores sont à la recherche d’une solution pour à la crise économique et financière devenue structurelle. C’est en 1994 qu’on commencé les Programmes d’Ajustement Structurel proposés par le Fonds Monétaire Internationale (FMI) et la Banque mondiale pour relever les économies des pays du Sud. Les missions entre Washington et Moroni dans les deux sens sont restées ininterrompues avec leurs lots de programmes, d’évaluations et de recommandations.
Les changements trop fréquentes des gouvernements et dans les services techniques n’ont jamais permis de conduire les reformes à terme. Les crises politiques et institutionnelles n’ont rien arrangées par ailleurs. Depuis le début de l’année 2009, Mohamed Ali Soilihi le Ministre des Finances sortant avait lancé une offensive de charme pour renouer le dialogue avec la finance internationale. Un premier succès a été enregistré en mars 2009 avec l’effacement de la Dette due à la Banque Africaine de Développement, qui a lui-même permis la signature d’un programme de surveillance avec le FMI.
Le 23 septembre dernier, c’est ce sont les indicateurs de ce programme de surveillance qui ont été évalué par le Conseil d’Administration du Fonds Monétaire Internationale à Washington. Les principaux argentiers du monde ont estimé que malgré la difficile conjoncture interne et externe, les performances économiques des Comores ont été satisfaisantes.
Gouvernance financière sous surveillance
Les récentes reformes pour favoriser les entreprises susceptibles de générer les emplois, les efforts pour maîtriser les écarts budgétaires et contrôler la hausse de la masse salariale ont pesé dans la balance. Il reste toutefois beaucoup à faire car l’audit des entreprises publiques effectuées à la demande du FMI justement a noté de forte dysfonctionnement. Une forte pression est exercée en ce moment sur le gouvernement pour ouvrir le capital de Comores Télécom, Comores Hydrocarbures et la Société de distribution de l’eau et de l’électricité.
A moyen terme le programme qui vient d’être signé vise une croissance macroéconomique par la stimulation des activités du secteur privé, le développment du secteur agricole, le renforcement de la gouvernance et le système judiciaire ainsi que le capital humain.
Les principaux indicateurs seront l’accroissement du PIB de 3 à 4 pour cent en 2012, la maîtrise de l’inflation, déjà en baisse puisqu’elle est passée de 7,4% en 2008 à 2,3% en 2009.
Dans l’immédiat le gouvernement vient de recevoir une bouffée d’oxygène avec le don de 21,5 millions de dollars par ces temps de crise. Selon le Vice président Ikililou Dhoinine en charge actuellement du ministère des Finances, 6,70 millions de dollars sont disponibles tout de suite et serviront très certainement à payer les salaires des fonctionnaires qui accusent plusieurs mois de retard. En fait ce montant correspond à la part du FMI, le reste devant provenir de la Banque Mondiale, de l’Union Européenne, de la France et de pays arabes.
Maintenant que les Comores sont devenues éligible au programme FRPC (Facilité pour la Réduction de la pauvreté et la Croissance) la dette extérieure ne sera pas épongée automatiquement selon Saandi Mouignidaho. Le secrétaire général de Cellule des reformes économiques et financière (CREF) explique que le pays continuera à alimenter le service de la dette mais les fonds seront bloqués sur un compte « séquestre » à la banque centrale. C’est après une évaluation qui devra montrer que le pays respecte ses engagements dans la gestion des finances publiques que le FMI autorisera l’injection de l’argent "séquestré" dans les secteurs sociaux pour booster la croissance.
De notre Correspondant A. Mohamed
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