
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Une situation qui va durer selon l’Organisation internationale du Travail
12 mai 2022
L’Organisation internationale du Travail constate une accélération de l’inflation dans le monde liée aux conséquences de la crise COVID et de la guerre en Ukraine. Le taux annuel dans le monde atteint 9,2 % en mars, dont 9,1 % pour les produits alimentaires. Selon l’OIT, cette situation va durer.
« Le taux annuel d’inflation dans le monde, mesuré par l’indice des prix à la consommation (IPC), s’est accéléré pour atteindre 9,2 % en mars 2022, contre 7,5 % en février 2022, 6,8 % en janvier 2022 et 6,4 % en décembre 2021. Le taux d’inflation en mars 2022 était plus de deux fois supérieur au taux de 3,7 pour cent enregistré en mars 2021. Ce bond de 5,5 points de pourcentage de l’IPC entre mars 2021 et mars 2022 constitue la plus forte augmentation sur une période de 12 mois depuis le début de la série en janvier 2019 », indique l’Organisation internationale du Travail.
L’OIT avance les explications suivantes :
« La hausse globale de l’inflation reflète les effets des blocages liés à la COVID-19 en 2020 et 2021. Plus récemment, cependant, elle a été alimentée par une flambée des prix de l’énergie et des denrées alimentaires, notamment depuis le début de la guerre en Ukraine le 24 février 2022. Ce conflit a infligé un choc majeur aux marchés des produits de base, perturbant les structures mondiales du commerce, de la production et de la consommation d’une manière qui devrait maintenir les prix à des niveaux élevés dans les années à venir ».
Les conséquences sont déjà largement observables, précise l’OIT :
« Selon les données relatives au marché mondial des produits de base de mars 2022, le blé et le pétrole sont actuellement tous deux environ 50 % plus chers qu’il y a un an. Les prix des autres céréales sont également en hausse. Pour les pays importateurs, ces hausses de prix constituent un obstacle important à la croissance économique et aux moyens de subsistance, et peuvent susciter des tensions sociales et politiques. »
Cette inflation touche particulièrement la nourriture :
« Les prix des denrées alimentaires, en particulier, montent en flèche. En mars 2022, ils étaient supérieurs de 9,1 % à ceux de mars 2021.
Il convient toutefois de noter que les prix, notamment ceux des denrées alimentaires, étaient en hausse avant même le début de la guerre en Ukraine. Les restrictions liées au COVID-19 sur la circulation transfrontalière de la main-d’œuvre et les perturbations des chaînes d’approvisionnement mondiales ont poussé les coûts de production à la hausse et réduit la concurrence. Les récentes hausses de prix déclenchées par la guerre en Ukraine n’ont fait qu’aggraver la pression existante sur les prix due à la confluence d’une forte demande et de pénuries d’approvisionnement persistantes. »
Ce sont les pauvres qui sont les plus touchés par cette inflation, constate l’OIT :
« La flambée de l’inflation des prix à la consommation a un impact majeur sur le niveau de vie des ménages, en particulier des ménages à faibles revenus, qui ont tendance à consacrer une part plus importante de leurs revenus à l’alimentation et aux autres produits de première nécessité. Les ménages sont désormais confrontés à la perspective d’une détérioration de leurs finances personnelles, dans le contexte d’une croissance économique nationale plus faible et d’une reprise post-crise retardée ».
L’OIT est pessimiste quant à l’évolution de la situation :
« Les mois à venir risquent de ne pas apporter beaucoup de soulagement étant donné que la réponse aux nouveaux foyers de COVID-19 dans certaines villes chinoises perturbe la production dans ce pays et affecte les chaînes d’approvisionnement mondiales, tandis que la guerre en cours en Ukraine crée une énorme incertitude en ce qui concerne les prix des produits de base. »
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