
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Réunion de crise en Grèce
19 septembre 2011, par
Au lendemain de l’annonce du report du second plan d’aide de l’Union européenne à la Grèce, Georges Papandréou, chef du gouvernement, a convoqué une réunion interministérielle de crise dimanche après-midi, afin d’aborder les évolutions financières dans son pays et la zone euro, selon ses services.
Une dizaine de ministres ont participé à la réunion de crise en Grèce dont celui des Finances, Evangélos Vénizélos, qui avait suivi les travaux de la réunion informelle des ministres des Finances de la zone euro vendredi et samedi en Pologne.
Les Grecs paieront le prix de la crise
Le second plan d’aide de 160 milliards décidé le 21 juillet à Bruxelles est selon les économistes « crucial » pour éviter un défaut de paiement de la Grèce et protéger la zone euro d’une contagion de la crise de la dette. En outre, la Grèce attend de ses créanciers (l’Union européenne, le Fonds monétaire international et la Banque centrale européenne), le déblocage de la sixième tranche, de 8 milliards d’euros, du premier prêt de 110 milliards d’euros accordé en 2010. Ce versement était prévu en septembre, la troïka UE-FMI-BCE a décidé de le reporter à octobre, jugeant tardive la mise en place des mesures d’austérité réclamées. Le FMI, la BCE et l’UE ont demandé aux Grecs « d’accélérer le pas et de respecter ses objectifs budgétaires ».
Les mesures prises par le gouvernement grec vont s’accentuer, en plus des suppressions de poste dans la fonction publique, de l’augmentation des heures de travail, de la diminution des salaires, Georges Papandréou a reconnu que les objectifs budgétaires fixés par les créanciers n’avaient pas été atteints, mais a réaffirmé sa "détermination" à poursuivre les efforts demandés. Les Grecs n’ont pas fini de payer le prix de la crise.
La Grèce laissée à son propre sort
Ne pouvant pas se déplacer, le FMI, la BCE et l’UE auront une téléconférence avec les autorités grecques sur la situation économique et financière du pays. « La téléconférence lundi doit porter sur un accord concernant les mesures, le cadre des finances publiques et les objectifs pour 2011 et 2012 en vue de l’élaboration du pré-projet du budget d’État », a expliqué Evangélos Vénizélos.
Vendredi dernier, le ministre grec des Finances a averti que si son pays criblé de dettes ne parvenait pas à mettre en œuvre les mesures d’austérité, des « conséquences dramatiques » surviendraient et échapperaient potentiellement au contrôle de la zone euro, a repris l’Agence France Presse.
Dans un communiqué publié au moment de la réunion des ministres des Finances de la zone euro, Evangélos Venizélos a indiqué que « tous les Grecs doivent comprendre que si des mesures énergiques n’étaient pas prises et appliquées maintenant, ce qui adviendra sera vraiment dramatique et échappera au contrôle de notre pays et peut-être même de la zone euro ».
Céline Tabou
Les conséquences désastreuses des désaccords
La pression de la troïka et les désaccords de l’Europe face à la crise de la dette mettent en exergue « l’inertie des responsables politiques », fustigée par l’ancien président de la Commission européenne, Jacques Delors. De même, l’économiste André Orléan a dénoncé l’« inertie totale d’une Europe impuissante » face à la crise. En témoigne, selon eux, l’absence d’avancée sur la taxe sur les transactions financières, promue ardemment par Paris et Berlin. « Il y a des divisions considérables à ce sujet », a reconnu à l’AFP, samedi 16 septembre, le ministre polonais des Finances, Jacek Rostowski, car de nombreux États craignent que cela n’aboutisse à une fuite des transactions hors Union européenne. Idem sur la question des banques, où la désunion se fait sentir malgré l’urgence de la situation économique et financière européenne.
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)