
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Notre continent et la quatrième révolution industrielle
2 décembre 2024
L’intelligence artificielle (IA) offre à l’Afrique une opportunité sans précédent de participer pleinement à la quatrième révolution industrielle. Toutefois, cette promesse est freinée par deux obstacles majeurs : le coût prohibitif de la connexion Internet et les défis persistants liés à l’approvisionnement en électricité. Ces barrières, qui touchent particulièrement les zones rurales, limitent l’accès aux technologies numériques et freinent la démocratisation de l’IA.
Lors de la Conférence économique africaine (CEA) 2024 à Gaborone, plusieurs experts ont souligné que l’IA, au lieu de remplacer les professions comme dans d’autres régions du monde, pourrait augmenter et améliorer les tâches en Afrique subsaharienne. Pedro Conceição, auteur du prochain Rapport sur le développement humain 2025, a rappelé que pour exploiter le potentiel de l’IA, les institutions africaines doivent investir dans des infrastructures capables d’amplifier les capacités humaines.
Cependant, ces ambitions se heurtent à des réalités concrètes. Le coût élevé de l’accès à Internet demeure une fracture numérique majeure. Alors que certaines régions du continent bénéficient de progrès en matière de connectivité, notamment au Botswana et en Namibie où des initiatives publiques ont permis de réduire les coûts, de larges pans du continent restent à la traîne. Dans ces zones, l’Internet par satellite pourrait représenter une solution prometteuse pour garantir un accès abordable et équitable.
Un autre frein significatif est la pénurie d’électricité, exacerbée par une croissance démographique rapide, les impacts du changement climatique et la dépendance à des centrales thermiques coûteuses. Natalie Jabangwe, secrétaire exécutive de la Fondation Timbuktoo, a souligné que ces défis infrastructurels limitent la capacité de nombreux pays africains à tirer parti des solutions technologiques qui pourraient transformer des vies. Sans électricité fiable, les outils d’IA, souvent gourmands en énergie, restent inaccessibles.
Pour relever ce défi, la transition vers une électricité solaire abordable apparaît comme une réponse durable. En permettant de contourner les limites des réseaux électriques traditionnels, l’énergie solaire offre une opportunité de connecter des zones isolées et de soutenir la transformation numérique de manière écoresponsable.
L’Afrique dispose de vastes potentialités pour intégrer l’IA dans son développement. Selon Alain Ndayishimiye, du Centre pour la quatrième révolution industrielle au Rwanda, les progrès dans des pays comme le Rwanda montrent que la transformation numérique est possible, à condition de surmonter des défis tels que la qualité des données, la confidentialité et la préparation de la main-d’œuvre.
Malgré ces obstacles, l’IA pourrait devenir un puissant levier pour le développement humain en Afrique. Une diffusion généralisée d’Internet et d’électricité durable permettrait non seulement de réduire les inégalités, mais aussi de catalyser la croissance économique et de renforcer les systèmes éducatifs et sanitaires.
La révolution numérique africaine est en marche, mais pour qu’elle atteigne tous les segments de la société, des investissements stratégiques dans des infrastructures inclusives sont essentiels.
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