
Turbulence à la Mairie de Saint-André
5 juillet, parAprès les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Alternative
15 septembre 2015
Les amoureux du ballon ovale connaissent certainement les Îles Samoa et son Haka – danse guerrière qui précède chaque rencontre de rugby et qui va bientôt résonner sur les terrains à l’occasion du championnat de monde. On connaît moins que ce pays très pauvre bénéficie chaque année d’une aide de l’Organisation des nations unies (ONU) et surtout qu’il est depuis quelques années l’objet d’une révolution verte au pas de charge.
Les Samoa sont un archipel de Polynésie, dans le Pacifique sud, au nord-est des îles Tonga.
L’archipel des Samoa est composé de deux micro-Etats : les Samoa (dites occidentales jusqu’en 1997), un Etat devenu indépendant en 1962, et les Samoa américaines qui dépendent des Etats-Unis.
Les Samoa (occidentales) se composent de deux îles principales (Savai’i et Upolu) et de sept petites îles dont deux seulement sont habitées (Apolima et Manono). Les Samoa américaines comprennent l’île principale de Tutuila et cinq petites îles.
Superficie
Les Samoa occidentales s’étendent sur 2 935 km² et les Samoa américaines occupent 199 km²
Point culminant
Le point culminant des Samoa est le Mauga Silisili qui s’élève à 1 857 mètres d’altitude.
Dans ce qui suit nous parlons de l’état indépendant des Samoas et non des Samoas américaines.
On a dit ci-dessus que le pays est pauvre et que ses ressources lui viennent d’une dotation de l’ONU ainsi que de l’argent envoyé au pays par les expatriés. Mais depuis quelques années les choses sont entrain de bouger du fait de l’introduction des cultures bio.
À l’origine de cette révolution, Adimaimalaya Tafuna’i, entrepreneure samoan et fondatrice de l’ONG Women in Business Development Incorporated. Avec son organisation, cette chef de file décide de faire un pari audacieux : faire de l’agriculture biologique, le nouveau poumon économique de l’archipel.
Un pari réussi puisque le bio est aujourd’hui devenu une activité florissante pour les agriculteurs samoan qui bénéficient de revenus plus élevés grâce à la vente de leurs produits certifiés, vendus à l’international. Un accord de commerce équitable a notamment été négocié entre les producteurs samoans de noix de coco et lun géant américain de produits de beauté.
Les Samoas comptent 35000 hectares de terres cultivables seulement. Les paysans s’organisent en fermes : il y en a environ 700 dont la productivité est grande bien que, comme il a été dit ci-dessus, les produits chimiques ont été interdits dans l’île aussi bien en ce qui concerne les fertilisants, les désherbants et traitement des maladies cryptogamiques.
La preuve, si elle était encore nécessaire que le bio cela marche et que les petits territoires insulaires ne sont pas condamnés à la dépendance économique.
Après les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Le CIOM « national » aura bien lieu le 10 juillet au Ministère des Outre-mer, en présence du Premier ministre, François Bayrou et du ministre de (…)
Kan i ariv Novanm-Désanm-Zanvié, domoun i réziste pi ek la salèr. Zène-zan i mars dann somin, zène-fi i roul an dékolté ; sétaki i rod in manir po (…)
En avril 2025, la ministre malgache des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika a déclaré que "la position de Madagascar concernant la (…)
L’ancien chef de la diplomatie européenne a déclara qu’« en un mois, 550 Palestiniens affamés ont été tués par des mercenaires américains ». Une (…)
Après l’opération militaire d’Israël « Rising Lion » (« Lion dressé ») contre l’Iran dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin 2025, et celle (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)