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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Crise en Europe
4 septembre 2012, par
Au moment où Eurostat vient d’annoncer la hausse du chômage en Europe, tous les regards se tournent vers la Banque centrale européenne (BCE), qui pour beaucoup doit agir rapidement dans le rachat d’obligations publiques.
Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, doit dévoiler, jeudi 6 septembre, lors de la réunion du Conseil des gouverneurs de la banque, un nouveau plan de rachats d’obligations publiques.
La BCE tâte le terrain
Selon Bruno Cavalier, chef économiste d’Oddo Securities, cité par “Le Figaro”, « la BCE pourrait d’abord abaisser une nouvelle fois son taux directeur » pour le ramener à 0,50%, mais aussi lancer une procédure d’assouplissement monétaire et « la révision probablement en baisse des perspectives de croissance de la BCE, qui sera annoncée jeudi », a indiqué l’économiste. Mais tous attendent des mesures de politique monétaire non conventionnelle, en particulier la mise en œuvre d’un programme de rachat de dette souveraine.
Lors de l’université d’été du Medef, vendredi 31 août, Benoit Cœuré, membre du directoire de la BCE, a expliqué qu’ils travaillaient « à un programme de rachat des dettes souveraines à court terme, assorti de strictes conditionnalités ». Pour le moment la banque préfère attendre de connaitre les résultats des experts de la troïka en visite à Athènes, le 7 septembre. Ces derniers sont chargés de préparer un nouveau rapport sur les progrès effectués par la Grèce dans la mise en œuvre de son programme d’ajustement budgétaire. La BCE ne préfèrera pas s’engager trop sans savoir quel sera l’avenir de la Grèce dans la zone euro.
En plus du cas grec, l’agenda espagnol pèse sur la BCE. Bruno Cavalier a expliqué que « la BCE ne recommencera pas la même erreur qu’à l’été 2011 où elle avait acheté de la dette espagnole et italienne sans avoir obtenu aucune assurance politique sur la mise en œuvre d’une politique budgétaire rigoureuse ». La BCE attendra jusqu’à ce que Madrid signe un plan de retour à l’équilibre de ses finances publiques, ce que le premier ministre Mariano Rajoy ne semble pas prêt à effectuer, selon les dernières annonces.
L’OCDE fait pression
Le secrétaire général de l’OCDE, Angel Gurria, a demandé dimanche 2 septembre, à la Banque centrale européenne (BCE) de donner « un signe crédible aux marchés et de reprendre l’achat d’obligations afin d’aider l’Italie et l’Espagne fortement endettées dès que possible ».
Ce dernier a expliqué que « la BCE est le bazooka, la puissance de feu, le muscle, la seule qui ait la capacité de faire comprendre aux marchés et de dire : oui nous le ferons ». Indiquant que la banque devrait acheter des obligations italiennes et espagnoles, ce dernier a ajouté que « le plus tôt sera le mieux ».
Le président de la BCE, Mario Draghi, s’était dit prêt à racheter des obligations publiques sous certaines conditions, mais l’Allemagne avait annoncé ces réticences, soulignant que « cela pourrait avoir des répercussions négatives sur la crédibilité et la confiance dans la banque et la monnaie » a indiqué l’AFP.
En dépit des incitations de l’OCDE, la BCE devrait « différer à début octobre toute action précise, le temps que l’ensemble de ces incertitudes soit levé » a précisé Pierre-Oliver Beffy, chez Exane BNP Paribas dans “Le Figaro”.
Céline Tabou
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