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Élections à la Chambre d’Agriculture
21 décembre 2024, par
Ce 19 décembre, la CGPER a présenté sa liste pour les élections du 31 janvier 2025 à la Chambre d’Agriculture. Cet événement eut lieu devant le siège de la Direction de l’Agriculture. Ce choix symbolique souligne une orientation. 4,5 millions d’euros de dettes sociales paralysent la Chambre. La CGPER compte assainir la situation pour redonner à l’institution consulaire son rôle : l’interlocuteur incontournable du monde agricole pour les pouvoirs publics. L’État devra faire bouger les lignes pour que la chambre consulaire puisse redevenir l’interlocuteur incontournable entre le monde agricole et les pouvoirs publics.
Ce 19 décembre à Saint-Denis, la CGPER a présenté sa liste pour les élections de la Chambre d’Agriculture prévues le 31 janvier 2025. Intitulée « Au cœur des intérêts de nos agriculteurs » et conduite par Jean-Michel Moutama, président de la CGPER, la liste est soutenue par la Confédération paysanne.
La conférence de presse s’est déroulée devant la représentation du ministère de l’Agriculture à La Réunion, la DAAF. Ce choix symbolique est expliqué par Jean-Michel Moutama. « La Chambre d’Agriculture cumulait 6 millions d’euros de dettes, dont 4,5 millions d’euros de dettes sociales en 2022 selon un rapport de la Cour des Comptes daté du 15 mars dernier. La Cour des comptes indique un risque pour la survie de la structure. Comment appliquer un projet dans une telle situation ? », précise-t-il. « Nous interpellons l’État pour qu’il fasse bouger les lignes pour les dettes sociales ».
Lorsque l’équipe actuelle a pris la direction de la Chambre d’Agriculture, les dettes étaient beaucoup moins importantes. « Le redressement financier était un des thèmes de campagne de cette équipe lors des précédentes élections, elle a échoué, tout s’est aggravé », constate le dirigeant syndical. Cette situation financière paralyse la Chambre d’Agriculture et entraîne une perte de crédibilité.
La CGPER compte assainir la situation pour redonner à l’institution consulaire son rôle : l’interlocuteur incontournable du monde agricole pour les pouvoirs publics. Car actuellement, ce sont en fait les coopératives qui ont repris ce rôle. « Or, moins de 40 % des agriculteurs sont adhérents de ces structures, alors que la Chambre d’Agriculture représente tous les agriculteurs ».
Par exemple, la Chambre d’Agriculture doit redevenir le moteur d’un projet de développement de ce secteur économique essentiel pour les exportations et pour aller vers l’autosuffisance alimentaire.
En termes de projet, la CGPER porte l’idée de la diversification des productions. « Le modèle d’une exploitation de 5 hectares plantée en cannes à sucre n’est plus viable, il faut que les agriculteurs puissent diversifier afin d’augmenter leurs revenus. Ce sera aussi un plus pour augmenter la part de la production locale dans l’alimentation », souligne Jean-Michel Moutama.
À un peu plus d’un mois du scrutin, la CGPER est mobilisée pour redonner espoir à un secteur ravagé par la crise. Augmenter les revenus des agriculteurs et redonner son rôle à la Chambre d’Agriculture sont des nécessités.
Outre la CGPER, deux autres listes sont candidates, celle de la majorité sortante FDSEA et celle de l’UPNA.
M.M.
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