
C’était un 30 juin
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2 février 2008, par
Désireux de mieux informer les consommateurs et de lutter contre l’obésité croissante des Européens, la Commission européenne veut rendre obligatoire l’étiquetage nutritionnel des denrées alimentaires d’ici 3 ans, mais épargne en revanche largement les boissons alcoolisées.
En effet, jusqu’à présent, l’étiquetage nutritionnel était facultatif, mais devenait obligatoire lorsque l’étiquette, la présentation ou la publicité vante le contenu nutritionnel d’un produit.
L’objectif est de donner au consommateur européen les moyens de faire le choix d’une alimentation équilibrée de façon claire et lisible sur les étiquettes.
Plus de la moitié de population adulte et un quart des écoliers de l’UE souffrent de surcharge pondérale ou d’obésité.
La proposition de la Commission prévoit de mettre à l’avant des paquets d’aliments et de boissons une étiquette détaillant la valeur énergétique ainsi que la présence de glucides, sucre, lipides, acides gras saturés et sel.
Ils seront indiqués en valeur absolue, pour 100 grammes ou 100 millilitres de produit, voire pour une portion, mais la présentation sera choisie librement, selon ce nouveau texte qui remplacera et simplifiera 8 lois existantes.
Une mention séparée sur l’apport nutritionnel journalier recommandé deviendra également obligatoire. De nombreux aliments aujourd’hui disposent de telles étiquettes, mais l’objectif est de l’étendre à tous les produits et de les rendre plus lisibles pour le consommateur.
La Commission s’est aussi attaquée aux “alcopops”, ces boissons alcoolisées et sucrées très en vogue chez les jeunes, qui devront être dûment étiquetées.
Mais sous la pression d’un certain nombre de pays producteurs et alors même qu’une ambitieuse réforme du secteur viticole a été entamée, le vin, la bière et les spiritueux ont été temporairement exclus.
Un rapport, produit dans 5 ans, décidera de conserver ou non ces dérogations. Jusqu’ici, 3 tentatives législatives pour mieux étiqueter le contenu de la bière, du vin et des spiritueux ont échoué.
Rendre l’étiquette plus lisible
Les produits frais non traités, comme les fruits et légumes, n’auront pas besoin d’être étiquetés, de même pour certains produits emballés en dessous d’une certaine taille comme des bonbons.
Concernant l’information par étiquetage sur les ingrédients entrant dans la composition d’un aliment, les caractères d’imprimerie devront à l’avenir satisfaire à une taille minimum réglementaire (3 mm de hauteur). Nombre de consommateurs se plaignent en effet du manque de lisibilité des étiquettes.
Pour des raisons de santé publique, l’obligation actuelle d’étiquetage des allergènes sera en outre étendue aux denrées alimentaires non emballées, vendues dans les magasins, mais aussi les restaurants et les cantines.
En revanche, l’indication de l’origine géographique des aliments restera facultative dans l’Union Européenne. Toutefois, si un producteur décide de préciser l’origine d’un produit, il sera tenu de fournir la provenance des principaux ingrédients s’ils viennent d’ailleurs.
Toutes ces obligations nouvelles n’empêcheront toutefois pas les Etats membres qui le souhaitent d’inscrire d’autres éléments sur le paquet.
Une fois le règlement adopté, la Commission entend donner 3 ans à l’industrie agroalimentaire pour s’adapter (5 ans aux petites entreprises de moins de 10 employés).
Sophie Périabe
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