
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
La chronique économique
9 mars 2006, par
Selon les organisations internationales tels que la Banque mondiale ou le Fonds monétaire international (FMI), le salut des pays les moins avancés passe par la libéralisation de l’économie.
Les pauvres de la planète ont tout à craindre de cette tendance. Ce nouveau credo ne repose pas sur des bases solides et il fausse les priorités des décideurs. Obnubilés par cet objectif de libéralisation économique, les pays pauvres y consacrent leurs ressources humaines, administratives et politiques, au détriment de besoins plus urgents tels que l’éducation, la santé publique, les capacités agricoles et industrielles ou la cohésion sociale.
L’économie mondiale repose sur une spécialisation des pays. Les pays pauvres demeurent des exportateurs de produits primaires et des importateurs de produits manufacturés. Ces pays sont aujourd’hui marginalisés. Pour accroître leurs ventes, ils ne peuvent que baisser leur prix, si bien qu’ils sont victimes de la détérioration des termes de l’échange : le prix de leurs exportations diminue, tandis que celui de leurs importations augmente.
Le développement de la Chine ou de l’Inde, pour ne prendre que les deux principales puissances asiatiques, s’est réalisé grâce à une forte intervention de l’État dans l’économie et à des mesures protectionnistes.
Au moment de l’indépendance en 1947, l’Inde souffrait des pires famines de tous les temps. L’influence de l’empire britannique sur l’économie agraire indienne a été négative. En effet, les souvenirs les plus tristes qu’ont beaucoup d’Indiens sur le règne colonial anglais sont ceux de la Grande famine du Bengale des années 40. La puissance coloniale avait réduit l’Inde au rôle de fournisseurs de matières premières à bas prix et d’importateurs de produits manufacturés à prix forts. C’est grâce à une politique interventionniste que le pays a atteint son autosuffisance alimentaire (révolution verte) et développé une base industrielle. Le gouvernement indien a pris toutes les mesures qui s’imposaient pour développer l’agriculture et l’industrie nationale. Une des priorité du gouvernement a été l’éducation. Aujourd’hui le taux d’alphabétisation approche les 70% et le pays forme plus de 250.000 ingénieurs par an.
De même, pendant des siècles, la Chine eut une agriculture primitive ; la faim et les maladies étaient toujours menaçantes. Le gouvernement de la Chine communiste a mis en place des réformes agricoles et industrielles, et les développements dans le pays ont été de loin les plus extraordinaires. Ces pays ont aussi réalisé des pas de géant dans le domaine de la santé, de l’éducation et de la sécurité sociale.
Les règles d’admission des pays pauvres dans l’économie mondiale reflètent non-seulement le mépris des priorités de développement, mais elles viennent aussi en contradiction avec les principes économiques. Par exemple, les accords de L’OMC (Organisation mondiale du commerce) sur l’agriculture ou la propriété intellectuelle n’obéissent à aucune logique économique autre que celle qui sert les intérêts d’une poignée de groupes puissants dans les pays industriels.
Risham Badroudine
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