
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
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Une délégation conduite par l’ambassadeur de l’UE à Maurice et aux Seychelles reçue à la Région Réunion
23 novembre 2024, par
Le jeudi 21 novembre, Huguette Bello, Présidente de la Région Réunion, et Wilfrid Bertile, conseiller régional délégué au Co-développement régional, ont accueilli une délégation de l’Union européenne composée de : Oskar Benedikt, ambassadeur auprès de Maurice et des Seychelles ; Txema Troncoso Perera, chef de coopération à la Délégation de l’UE ; Lalita Nosib, chargée de projets à la Délégation de l’UE ; et Murielle Lesales, chargée de programmes pour le secteur privé et INTERREG. Cette rencontre a notamment rappelé les impacts de l’intégration de La Réunion à l’Union européenne.
Depuis son intégration à l’Union européenne comme département puis région française et ensuite en tant que région ultrapériphérique (RUP), La Réunion a bénéficié de financements européens. Les fonds structurels comme le FEDER, le FSE et le FEADER ont soutenu des projets dans les infrastructures, la formation l’agriculture, la transition écologique ou encore l’innovation. Des initiatives comme le programme INTERREG favorisent la coopération régionale dans l’océan Indien. L’objectif est de renforcer les liens entre La Réunion, ses voisins et l’Europe. Mais la politique des visas imposée par Paris à La Réunion empêche de réaliser le vœu de libre-circulation entre notre pays et ses plus proches voisins.
Cette intégration a aussi des aspects négatifs. Les agriculteurs réunionnais, notamment les producteurs de canne à sucre et d’autres cultures tropicales, se trouvent en concurrence directe avec des producteurs d’autres régions du monde bénéficiant de coûts de production bien inférieurs.
L’exemple du projet d’accord entre l’Union européenne et le MERCOSUR est une illustration. Les producteurs du MERCOSUR n’appliquent pas les normes européennes. Pourtant ils peuvent vendre sur le marché européen, avec au final un prix plus bas proposé aux consommateurs. Cette situation fragilise le secteur agricole local, pourtant clé pour l’économie et l’identité de l’île. L’ouverture des marchés, encouragée par les accords commerciaux européens, accentue cette pression en favorisant des importations à bas prix qui concurrencent les produits réunionnais.
C’est cette pression pour l’ouverture des marchés qui explique la suppression en 2017 du quota de 300 000 tonnes de sucre et du prix d’intervention de l’Union européenne pour acheter le stock invendu. Les élus réunionnais au Parlement européen n’ont pas su s’opposer de manière significative au gouvernement français qui a voté pour cette suppression. Depuis, la filière canne-sucre-alcools-énergie vit la plus grande crise de son histoire contemporaine. Cette année, la récolte de canne à sucre représentera à peine 60 % du tonnage moyen d’avant 2017. Depuis 2017, la superficie des plantations de canne à sucre à La Réunion a diminué d’environ 10 %.
Lors de la rencontre, Huguette Bello a rappelé la nécessité de défendre les spécificités et les intérêts de La Réunion face à ces défis. Elle a souligné l’importance des fonds apportés par les programmes européens pour la stabilité économique et sociale du territoire. Rappelons que c’est la Région Réunion qui gère l’attribution des fonds européens ventilés en plusieurs programmes décidés par l’Union européenne à l’exception des aides européennes pour l’agriculture, sous la responsabilité du Département de La Réunion.
M.M.
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