
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
La dette est à un niveau record
28 mars
Alors que le déficit public était attendu à plus de 6% du PIB, il se situe loin de l’objectif européen de 3%. De plus, la dette publique se hisse quant à elle à 3305, 3 milliards d’euros.
Ainsi, les prévisions donnaient le solde du budget national à -6,1% du PIB il y a quelques semaines, mais celui-ci se fixe finalement à -5,8%, a annoncé l’Insee le 27 mars.
Loin de la prévision initiale de 4,4% et des 3% exigés par les critères de convergence européens, ce « n’est pas une bonne nouvelle, c’est un déficit trop élevé, c’est pourquoi nous devons le réduire », a reconnu le ministre de l’Économie, Éric Lombard, présentant ce chantier comme un « enjeu de souveraineté ».
Interrogé par France Inter sur les raisons de ce déficit moins important qu’attendu, le ministre a estimé que « les dépenses ont été très bien tenues » sous l’impulsion de Michel Barnier, le prédécesseur de François Bayrou. « On avait craint une évolution des recettes fiscales dans tous les pays européens », a-t-il ajouté.
Cependant, « les dernières informations comptables semblent plus positives. Nous avons de bonnes nouvelles s’agissant des dépenses des collectivités locales et de la sphère sociale », avait révélé le 19 mars Éric Lombard lors d’une audition à la commission des finances du Sénat.
Cette amélioration lui permet d’espérer d’atteindre l’objectif de 5,4% de déficit en 2025, malgré la détérioration des prévisions de croissance, à 0,7% du PIB selon la Banque de France.
Le ministre de l’Économie ne veut pas s’avancer, renvoyant à mi-avril l’annonce des conclusions qui en seront tirées par le gouvernement. Pour le moment, il invoque les incertitudes liées à la politique douanière du président américain Donald Trump.
Toutefois « tant qu’on n’est pas à 3% de déficit, la dette augmente » et pèse sur les générations futures, a rappelé Eric Lombard. Celle-ci, imperturbablement, poursuit sa progression.
Au quatrième trimestre 2024, la dette atteignait 3305,3 milliards d’euros, soit 113% du PIB, annonce l’Insee.
Il s’agit d’un nouveau record, après avoir déjà dépassé les 3300 milliards d’euros au trimestre précédent, mais moins mauvais que ce que redoutait les prévisionnistes.
En trois mois, la dette a augmenté de près de 4 milliards d’euros, contre 71,7 milliards d’euros sur la période précédente, a détaillé le statisticien national.
Cette légère hausse se base sur la saisonnalité de l’endettement : l’Agence France Trésor émet l’essentiel des titres sur les marchés durant les premiers trimestres. Cette hausse ne plaide pas en faveur de la France, définitivement entrée dans le camp des « cigales » de la zone euro.
Si à court terme le gouvernement peut se réjouir que le déficit reste contenu, toutes proportions gardées, la trajectoire des finances publiques de la France n’en demeure pas moins inquiétante.
Dans ses prévisions pluriannuelles d’octobre dernier, validées par la Commission européenne, le gouvernement Barnier a estimé que la dette nationale atteindrait son pic en 2027, à 116,5% du PIB, avant d’entamer sa décrue progressive en 2028.
De plus, le déficit devait renouer avec les 3% en 2029. Mais les taux, sous l’effet de l’abandon par l’Allemagne de son frein à l’endettement, se sont envolés, rendant plus coûteuses les émissions obligataires sur les marchés.
Concernant le réarmement annoncé pour pallier le désengagement américain face à la Russie, « sans impôts supplémentaires » selon Emmanuel Macron, lui aussi devrait peser sur les finances publiques.
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