
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Pour répondre aux exigences européennes
25 mai 2023
Le gouvernement va geler 1% supplémentaire des crédits de son budget 2023 pour tenir sa trajectoire en matière de finances publiques, ont annoncé l’entourage d’Élisabeth Borne et le ministre de l’Économie Bruno Le Maire.
La première ministre a validé, lors d’une réunion à Matignon, une proposition de son ministre de l’Économie qui consiste en « une augmentation des crédits mis en réserve dans le budget 2023 (hors traitements des fonctionnaires) », a précisé l’entourage de Élisabeth Borne.
« J’ai proposé à la première ministre de prendre une mesure de précaution supplémentaire pour tenir nos engagements de finances publiques en 2023 », a indiqué Bruno Le Maire.
Les grands postes des dépenses de l’État comprennent des dépenses de personnel, de fonctionnement, d’intervention (exemple : aides économiques), d’investissement (exemple : construction des routes) et le remboursement des intérêts de la dette.
Ce 1% de gel « s’applique à l’intégralité des crédits de l’Etat sauf les salaires. Ils représentent 1,8 milliard d’euros et ce 1,8 milliard d’euros s’ajoute aux 5% de crédits de l’État qui avaient déjà été gelés pour un montant total de crédits gelés de 10 milliards d’euros », a ajouté le ministre.
Cette mesure « doit nous garantir que nous tiendrons nos objectifs de finances publiques en 2023 c’est-à-dire revenir sous les 5% de déficit », a-t-il précisé. Paris est dans l’attente de la notation de sa dette, début juin, par l’agence financière Standard and Poor’s.
Fin avril, l’agence Fitch avait abaissé la note de la France, en raison des fortes tensions sociales autour de la réforme des retraites. Bruno Le Maire avait alors assuré qu’il ferait « passer des réformes structurantes ».
Selon la feuille de route du gouvernement pour les prochaines années et présentée en avril, après avoir atteint 4,7% en 2022, le déficit public devrait légèrement remonter cette année à 4,9%, avant de refluer progressivement à partir de 2024 pour atteindre 2,7% en 2027, dans les clous européens.
Le désendettement sera aussi une priorité pour le gouvernement, qui veut réduire la dette publique représentant 108,3% du PIB en 2027. Un chiffre très éloigné de l’objectif européen de 60%. Elle était à 111,6% du PIB fin 2022.
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