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Déficit à 3% en 2029
17 avril
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop optimistes, pointant que le retour à un déficit de 5,4% du déficit en 2025 n’est pas acquis.
La France doit impérativement faire repasser son déficit sous la barre des 3% du PIB, afin d’éloigner d’un possible surendettement. Raison pour laquelle, le Premier ministre François Bayrou a organisé une « conférence nationale sur les finances publiques », en présence de parlementaires, syndicats et organismes publics, sauf l’Association des Maires de France. Pour le gouvernement le retour sous la barre des 3% sera fait en 2029.
Or le Haut Conseil des Finances Publiques a émit des doutes vis-à-vis de la solidité de cet objectif. Dans son avis « relatif au rapport d’avancement annuel 2025 du plan budgétaire et structurel à moyen terme 2025-2029 » (PSMT), le Haut Conseil a estimé que : "la trajectoire de finances publiques au-delà de 2025, qui n’est qu’esquissée dans les documents présentés, reste à préciser et crédibiliser. L’effort de redressement envisagé est une réduction de 0,9 point de PIB en 2026 du déficit structurel primaire, puis de l’ordre de 0,7 point de PIB par an ensuite. Un tel ajustement, qui ne permettrait de réduire la dette qu’à partir de 2028 après un nouveau point haut à 118 points de PIB en 2027, est pourtant impératif pour restaurer les finances publiques, maîtriser la dette publique et tenir les engagements européens de la France, notamment le retour du déficit sous 3 points de PIB en 2029, dont le Haut Conseil rappelle la nécessité impérieuse. Il souligne à nouveau que cette nécessaire réduction du déficit suppose une stratégie cohérente et crédible de réduction du poids de la dépense publique dans le PIB et d’évolution des prélèvements obligatoires."
Dans son PSMT, la France s’engage à faire revenir son déficit à 2,8% à cet horizon. Ce document, élaboré sous Michel Barnier et validé par Bruxelles sous François Bayrou, répond aux exigences européennes. Celui-ci a été légèrement amendé, prenant en compte les nouveaux objectifs de déficit pour 2025 et 2026, ainsi que de nouvelles prévisions de croissance, et doit être de nouveau soumis à validation européenne avant la fin du mois d’avril.
Le Haut Conseil pointe notamment les prévisions de croissance de Bercy. "Le scénario économique présenté pour les années 2026 à 2029 se limite à une prévision de croissance et de PIB potentiel. L’hypothèse de croissance retenue pour 2026 (+1,2%, abaissée de 0,2 point par rapport au PSMT) suppose que les incertitudes internationales s’atténuent et que l’ajustement budgétaire pèse peu sur l’activité. Compte tenu de l’ajustement envisagé, cette prévision requiert une accélération de la demande intérieure privée dont l’ampleur est loin d’être acquise. Le scénario de PIB potentiel, inchangé par rapport au PSMT, est raisonnable à condition que la politique économique permette bien un redressement des gains de productivité et la poursuite de la hausse du taux d’emploi.
Il faudrait donc pour cela que la demande privée s’accélère, et donc que les Français s’estiment suffisamment en confiance pour puiser dans leur vaste épargne, ce qui est loin d’être acquis. Quant à 2027, le gouvernement se projette désormais sur une activité de 1,4% du PIB, contre 1,5% envisagé auparavant.
Le Haut Conseil a estimé que la prévision de déficit public pour 2025 (5,4 points de PIB) peut être tenue mais est loin d’être acquise. Elle requiert une stricte maîtrise des dépenses directement pilotables par l’État et des dépenses sociales, et la confirmation du ralentissement récent de la dépense des collectivités locales. D’autant que les marges de sécurité et les capacités de réaction en cas de nouveau choc défavorable apparaissent très limitées. La dette publique progresserait en outre encore de 3 points de PIB en 2025.
De plus, la prévision de croissance pour cette année, de 0,7%, a été abaissée et est donc plus réaliste, mais pourrait se révéler encore plus faible, à 0,5% selon plusieurs prévisionnistes, est-il signalé. Or « le Haut Conseil note que l’environnement macroéconomique international est marqué par une incertitude importante, en raison notamment des initiatives protectionnistes de l’administration américaine et des incertitudes géopolitiques grandissantes. »
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