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Commerce international
4 juillet 2019, par
Le week-end dernier, l’Union européenne a signé des accords commerciaux avec le MERCOSUR et le Vietnam. C’est une concurrence supplémentaire pour l’économie réunionnaise, d’autant plus que le Brésil, membre du MERCOSUR, est un des plus importants exportateurs de produits agricoles, dont le sucre. Les intérêts réunionnais n’ont pas été défendus dans ces négociations estime le PCR, qui demande de récuser ces accords commerciaux.
Julie Pontalba rappelle que la semaine dernière, lors de la rencontre du G20 au Japon, L’UE a signé un accord avec le MERCOSUR, puis le lendemain avec le Vietnam, un dernier coup d’éclat de la Commission européenne sortante. L’accord avec le MERCOSUR doit néanmoins être ratifié par tous les États membres de l’Union européenne.
« Ces questions étaient cachées lors des élections européennes, les Français de la Commission n’ont rien dit », souligne Julie Pontalba, qui était candidate à ce scrutin.
« Comment les producteurs vont-ils faire face à la concurrence mondiale. Nous importons déjà des produits du Vietnam et du MERCOSUR alors qu’il faut privilégier les circuits courts moins polluants et plus contrôlés », indique Julie Pontalba.
L’accord intervient au moment où le Brésil, membre du MERCOSUR autorise 150 produits phytosanitaires en plus, et pratique la déforestation au mépris des peuples autochtones et de la protection de la biodiversité. Le PCR demande de récuser ses accords.
Le PCR attire l’attention sur une urgence évoquée lors de la campagne des Européennes : la signature des accords de partenariat économique. « 5 ans après le Sommet de la Commission de l’océan Indien à Moroni demandant d’accélérer les négociations, où en est-on ? Pourquoi cette rétention d’information ? Rappelons que la France est membre de l’UE, de la COI et a un statut d’observateur dans les discussions de l’APE. Qu’attend la France pour mettre à la disposition des Réunionnais les informations dont elle dispose ? »
La signature des accords commerciaux par l’Union européenne rappelle que « nous ne pouvons faire confiance à personne. L’Union européenne n’a pas respecté nos spécificités sur le sucre ».
À ces accords de libre-échange, le PCR propose une alternative : le co-développement solidaire avec les pays de notre région. « Nous serons un ensemble de 50 millions d’habitants, nous pourrons travailler ensemble à une société plus juste », conclut Julie Pontalba.
M.M.
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