
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Crise en Europe
14 septembre 2011, par
Les bourses européennes ont clôturé en baisse hier craignant un défaut de paiement de la Grèce, une stagnation de la croissance mondiale et une instabilité politique en Europe. Face à cette situation, la question de la nationalisation des banques refait surface, notamment en France, où les trois principales banques seraient touchées par la faillite de la Grèce.
Alors que le second plan d’aide à la Grèce est en débat et que les valeurs bancaires fluctuent, la nationalisation des banques revient sur le devant de la scène. Cependant à droite, la réponse reste négative. « Une nationalisation des banques françaises est totalement prématurée et à côté du sujet », a affirmé mardi 13 septembre, le ministre de l’Industrie, Éric Besson, sur RMC/BFM TV.
Les banques françaises, premières touchées
Le ministre du Budget et porte-parole du gouvernement, François Baroin, a quant à lui expliqué que cette situation ne l’inquiétait pas, car les établissements français « sont parmi les banques internationales les mieux notées actuellement ». L’éventuelle dégradation de leurs notes n’aurait selon lui qu’un impact « limité ». Lors de son interview, Éric Besson a également rappelé que les banques avaient « très bien passé » les tests de résistance européens, l’été dernier, le ministre français n’avait pas alors l’épée grecque au-dessus de la tête.
D’autant plus que les banques françaises seront les premières à plonger si la Grèce ne parvient pas à payer ses dettes. BNP Paribas détient près de 5 milliards d’euros de créances sur la dette grecque, le Crédit Agricole détient peu de titres d’État mais possède une filiale, Emporiki, et une masse de prêts dans le secteur privé. Quant à la Société Générale, elle dispose d’une part majoritaire au capital de la banque grecque Geniki et un portefeuille de titres d’État de 2,5 milliards d’euros.
Confiance des politiques, méfiance des financiers
Les responsables politiques européens continuent de faire confiance dans la solidité des banques françaises, notamment le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a confirmé que les banques centrales étaient prêtes à fournir des liquidités aux banques au cas où elles en auraient besoin. « Quel que soit le scénario grec et donc quelles que soient les provisions à passer, les banques françaises ont les moyens d’y faire face », a déclaré Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France.
Certains experts tempêtent contre l’attitude des banques, qu’ils accusent d’avoir menti. « Les banques nous ont menti en 2008 et cachent sans doute encore des produits toxiques dans leurs bilans », a affirmé Marc Fiorentino, PDG de Monfinancier.com, au "Journal Du Dimanche". Comme cet expert, bon nombre approuveraient une nationalisation des banques, « l’État doit entrer dans le capital des banques françaises à hauteur de 30% ». De son côté de Philippe Dessertine, directeur de l’Institut de Haute Finance a expliqué que « l’État est le seul à pouvoir aider les banques à se recapitaliser ».
Céline Tabou
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