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Publication d’une étude de l’INSEE
13 novembre 2014
Entre 1996 et 2010, la richesse disponible à La Réunion est passée de 7,4 à 15 milliards d’euros. Cette augmentation suscite les convoitises des groupes extérieurs, comme le souligne la multiplication des grandes surfaces. Force est de constater la faiblesse relative du secteur privé, qui reste en dessous de 40% de la valeur ajoutée. La fonction publique et les ménages apportent donc plus de 60% de cette valeur ajoutée. Voici la reproduction de cette étude de l’INSEE, parue sous le titre de « Comptes économiques définitifs de La Réunion ».
Entre 1996 et 2010, le PIB réunionnais a doublé, passant de 7,4 à 15,2 milliards d’euros, stimulé principalement par l’activité des sociétés ainsi que par celle des administrations publiques. Après plus d’une décennie de forte croissance, l’activité économique de l’île est impactée par la crise en 2009 : le PIB se contracte alors de - 2,7 %. Il se redresse timidement dès 2010, stimulé par la consommation mais freiné par de faibles investissements. La valeur ajoutée générée par les sociétés progresse pour s’établir à 39,6 % en 2010.
En 2010, le produit intérieur brut (PIB) s’établit à 15,2 milliards d’euros (définitions). Il a ainsi plus que doublé entre 1996 et 2010. Jusqu’en 2007, le PIB augmente régulièrement entre + 5,5 % et + 7,4 % par an. Mais la crise économique marque un coup d’arrêt à cette progression. En 2009, le PIB recule de 2,7 % pour repartir timidement à la hausse en 2010 (+ 1,7 %) .
La consommation finale est la principale contributrice à l’évolution du PIB réunionnais. Elle double en quinze ans. La formation brute de capital fixe (FBCF) contribue plus modestement (définitions). Pour autant, le montant des investissements est multiplié par 2,5 entre 1996 et 2010. Enfin, comme dans la plupart des économies insulaires, le solde des échanges extérieurs contribue négativement au PIB. Seule l’année 2009 fait exception : le recul de la consommation lié à la crise a pesé sur les importations et amélioré le solde extérieur.
Les branches dégagent un peu moins de 14 milliards d’euros de valeur ajoutée (VA) en 2010 soit 2,1 fois plus qu’en 1996 (définitions). La VA se partage entre rémunération des salariés et excédent brut d’exploitation (EBE). En 2010, les branches distribuent plus de 8,2 milliards d’euros en rémunération et dégagent 5,3 milliards d’euros d’EBE. Sur la période, l’EBE progresse un peu plus rapidement que la rémunération des salariés. La part de l’EBE dans la valeur ajoutée, également appelée taux de marge, augmente ainsi très légèrement : elle passe de 36,0 % à 37,8 % en quinze ans.
La VA est essentiellement générée par les sociétés financières et non financières (5,5 milliards d’euros en 2010) ainsi que par les administrations publiques (4,3 milliards d’euros). Les ménages (y compris les entrepreneurs individuels) créent quant à eux 3,8 milliards d’euros de VA en 2010. Sur les quinze dernières années, la VA des sociétés a augmenté plus rapidement que celle des administrations publiques ou des ménages.
Ainsi, la part des sociétés dans la VA totale a progressé, passant de 34,8 % en 1996 à 39,6 % en 2010. L’augmentation de la VA des sociétés est plutôt régulière jusqu’en 2008. Pourtant, en lien avec la crise économique, leur valeur ajoutée recule en 2009 et 2010 tandis que celle des administrations publiques continue de progresser. Les dépenses publiques ont ainsi amorti la baisse de la VA totale en 2009 et contribué à son lent redémarrage en 2010.
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