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Indian Ocean Rim
3 septembre 2015, par
La première conférence ministérielle de l’Indian Ocean Rim Association (IORA) sur l’économie bleue se tient depuis mercredi jusqu’a ce jeudi 3 septembre à l’hôtel Le Méridien à Pointe-aux – Piments (Maurice). L’objectif de cet évènement est de définir une feuille de route sur le sujet.
La pêche et l’aquaculture, l’énergie océanique renouvelable, les ports et le transport maritime ainsi que l’exploration du fond de mer et les minéraux sont les quatre thèmes majeurs débattus entre les membres de l’IORA (Indian Ocean Rim Association), composé de l’Australie, Bangladesh, Comores, Inde, Indonésie, Iran, Kenya, Madagascar, Malaysia, Maurice, Mozambique, Oman, Seychelles, Singapour, Afrique du Sud, Sri Lanka, Tanzanie, Thaïlande, Emirats arabes unis et du Yémen.
Cette conférence réunie près de 300 délégués étrangers de 26 pays de l’IORA ainsi que des partenaires et experts locaux des secteurs public et privé, dont le but est mettre en place un modèle économique basé sur l’économie bleue afin de créer des emplois et instaurer un développement durable dans les pays de la zone.
Dans le cadre d’une coopération régionale, les pays membres feront part de leurs expertises, de leurs faiblesses et points forts, ainsi que de leurs besoins, afin de créer une « communauté active d’institutions de recherche, universités », auxquels s’ajoutent les secteurs public et privé, indique le quotidien mauricien Le Matinal.
Pour Firdaus Dahlan, un des directeurs du secrétariat de l’Indian Ocean Rim Association, ces thématiques sont les priorités de demain pour l’ensemble des pays et surtout « l’économie bleue est l’avenir de plusieurs pays, particulièrement de ceux de l’océan Indien. »
Firdaus Dahlan a expliqué au journal mauricien, L’Express, au’« on doit façonner l’avenir de l’économie océanique et identifier les besoins des pays membres », pour cela « on doit engager le dialogue. La majorité des pays membres de l’IORA sont en développement. On n’a pas les moyens nécessaires pour développer le potentiel ».
Les océans couvrent 72 % de la surface de la planète, 8 % de la population mondiale (540 millions de personnes) vit de la pêche et de l’aquaculture, et l’Indianocéanie est l’un des 34 points chauds de la biodiversité mondiale.
Raison pour lesquelles, l’économie bleue apparaît comme un secteur clé pour les pays de l’IORA et la Commission de l’Océan Indien, qui a consacré une partie de ses débats sur ce modèle économique lors du Sommet de la COI à Madagascar, en mai.
Dès 2014, James Michel, président des Seychelles assurait que l’océan « regorge d’énormes richesses qui en font une grande zone d’intérêt géostratégique ». Ces riches exploitées « représenteront de réelles perspectives de développement économique de la région ».
« Notre océan pourrait être notre nouvel eldorado énergétique, d’opportunités d’emplois », avait-il assuré. D’autant que le commerce mondial des produits de la pêche représente près de 136 milliards de dollars (2013) et 3,5 millions d’emplois dans la région dans le secteur de l’exploitation et le commerce des produits issus des pêcheries.
Précurseur de l’économie bleue, Gunter Pauli, ancien président d’Ecover, a initié des solutions alternatives, réellement non polluantes, rentables, et créatrices d’emploi. Ce dernier a mit en exergue l’économie bleue qui allie les principes de l’écologie industrielle avec l’innovation de la biomimétique.
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