
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Après la décision du Conseil d’État contre la carrière de Bois-Blanc
23 avril 2020
ATR-FNAUT a écrit hier au Préfet. Elle l’invite, en ce temps de confinement où les travaux du BTP sont suspendus, à mettre à profit ce temps de pause pour élargir la réflexion sur la question de la collecte des matériaux rocheux afin de ne pas sacrifier l’avenir au profit du projet de l’improbable route en mer voulue par Didier Robert, président de Région. Rappelons que ce chantier pharaonique à l’arrêt a été lancé sans que ses promoteurs ne disposent des matériaux nécessaires pour le continuer.
Monsieur le Préfet,
Défendre les usagers de la périlleuse route littorale, ne dispense pas de rester attentif à l’économie des ressources limitées de notre île. C’est d’ailleurs la raison d’être du schéma départemental des carrières (SDC) dont la version officielle reste celle de 2010 faute d’évaluation environnementale globale lors de la tentative de modification de 2014.
Pour mémoire, l’impact des nouvelles carrières au profit de la Route en mer avait été jugé non négligeable par le tribunal administratif. Il invitait ainsi l’État à une réflexion plus globale par une procédure de révision du SDC. En lançant sa révision en juillet dernier, vous engagiez donc cette réflexion globale. Le futur SDC devra répondre à la satisfaction des besoins économiques en granulats pour la prochaine décennie. Mais il devra le faire tout en intégrant les préoccupations environnementales et sociales devenues incontournables sur un territoire insulaire de plus en plus compté !
En réponse à la confirmation par le Conseil d’État de l’annulation de l’arrêté d’ouverture de carrière à Bois-Blanc, vous avez jugé bon de préciser le 15 avril à la télévision, que la révision du SDC était engagée dans le but d’autoriser la carrière voulue par la S.C.P.R. et, comme on le sait, destinée essentiellement à la Route en mer.
Après 10 ans, la révision du SDC de 2010 ne peut avoir pour unique objectif la réalisation « quoiqu’il en coûte » du seul chantier de Route en mer. Les pouvoirs publics ont la responsabilité de tracer maintenant un panorama, sinon complet au moins suffisamment large, des besoins à venir du BTP afin de ne pas compromettre la construction prévue de logements, de bâtiments publics, de routes et ouvrages d’art ailleurs dans l’île, en sacrifiant nos ressources au profit d’un seul chantier, même emblématique, tel cette interminable Route en mer.
Monsieur le Préfet, en pointant les études lacunaires des ressources en matériaux pour la digue, la cour de Cassation nous rappelle aussi indirectement la volonté du législateur de planifier notre développement durable dans votre SDC et invite à ne pas le mettre au service d’intérêts privés en l’adaptant au gré de projets opportunistes.
L’impasse rencontrée par le chantier de la Route en mer appelle à une remise à plat :
· Des conditions contractuelles du marché MT5-2 ;
· Des avantages et inconvénients de ses choix constructifs comme des autres solutions pour terminer l’ouvrage ;
· Du cadre légal dans lequel reprendra le chantier selon les scénarios constructifs possibles. Monsieur le Préfet, on le voit aujourd’hui, aucune urgence ne recommande de renoncer à mieux réfléchir avant d’agir, pour ne pas à nouveau investir en aveugle.
Je vous prie de croire, Monsieur le Préfet, en l’assurance de nos respectueuses salutations..
Le Port, mercredi 22 avril 2020
Le bureau d’ATR
François Payet, président
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