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31 janvier 2019
L’Insee a dévoilé le 30 janvier sa première estimation de la croissance française pour 2018, celle-ci est attendue en nette baisse par rapport à 2017.
Dans un contexte de tensions sur l’économie mondiale, d’inquiétudes vis-à-vis de l’impact du mouvement des "gilets jaunes", de baisse de la consommation, et d’un chômage stagnant, ... "l’activité a connu un gros coup de frein", avec un "décrochage très net début 2018", a indiqué Mathieu Plane, économiste à l’Observatoire français de la conjoncture économique (OFCE).
Sur un an, "le climat a clairement changé", a commenté de son côté Olivier Passet, directeur des études à Xerfi. "Il y a un an, personne n’imaginait une telle cassure", ajoute-t-il. Dans sa dernière note de conjoncture, publiée mi-décembre, l’INSEE a évalué à 1,5% la croissance de la France, qui pourrait être atteinte sur la 2ème année du quinquennat d’Emmanuel Macron. Un chiffre inférieur de 0,8 point aux 2,3% atteints en 2017.
Le gouvernement prévoyait à l’origine une hausse du produit intérieur brut (PIB) de 2%, mais désormais il a pour objectif 1,7%. "La croissance a été très faible lors des trois premiers trimestres (0,2% aux premier et au deuxième, 0,3% au troisième, NDLR) et les perspectives pour le quatrième trimestre ne sont pas bonnes", a souligné Mathieu Plane de l’OFCE.
Selon l’INSEE, la hausse du PIB ne devrait pas dépasser 0,2% sur les trois derniers mois de l’année 2019, malgré un renforcement du pouvoir d’achat dû la baisse de la taxe d’habitation pour 80% des ménages.
Pour Mathieu Plane, "il faut s’attendre à un effet non négligeable", mais "difficile à quantifier". Ce dernier a rappelé à l’Agence France Presse que cette crise vient s’ajouter "à de multiples facteurs" ayant déjà fragilisés l’activité de ces derniers mois.
En effet, la conjoncture actuelle peine à relancer la croissance : le ralentissement de l’activité au niveau international, et notamment en Allemagne, premier partenaire économique de la France ; la guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis ; et les incertitudes sur le Brexit.
"Une récession mondiale n’est pas au coin de la rue mais le risque d’un recul plus prononcé de la croissance mondiale a augmenté", a averti à Davos la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde.
En plus de ces facteurs, la France doit faire face à une consommation, décevante tout au long de l’année, en raison notamment de la hausse des prix du pétrole. "Cela a pesé sur le pouvoir d’achat", en dopant l’inflation, a précisé Olivier Passet.
Le calendrier fiscal du gouvernement, avec en début d’année les hausses d’impôts et en fin d’année les allègements fiscaux, n’a rien arrangé. "Cela a poussé beaucoup de contribuables à décaler leurs achats", a indiqué ce dernier.
L’investissement des entreprises devrait augmenter de 3,8% sur l’ensemble de l’année 2018, après avoir déjà grimpé de 4,4% en 2017, d’après l’Insee. Idem pour les exportations, attendues en hausse de 2,9%, permettant selon l’Insee au commerce extérieur de contribuer positivement à la croissance du PIB à hauteur de 0,6 point.
Nous avons "une croissance qui ralentit" mais l’activité "en France, reste solide, plus solide que celle de beaucoup de ses partenaires", a assuré le ministre de l’Economie, Bruno le Maire.
Pour François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, l’économie se trouve dans une phase de "ralentissement", mais "ce n’est pas un retournement vers une récession". La banque prévoit à nouveau 1,5% de croissance cette année.
Mais "si le prix du pétrole continue à augmenter, si la construction résidentielle continue à reculer" et "si l’investissement des entreprises" recule, "la croissance française pourrait plonger" et "devenir inférieure à 1%", a prévenu Patrick Artus, chef économiste chez Natixis.
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