
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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Larges extraits d’un article publié le 10 octobre 2014 par citoyens indignez-vous
30 juin 2015
L’énergie fossile désigne l’énergie que l’on produit à partir de roches issues de la fossilisation des êtres vivants : pétrole, gaz naturel et houille. Elles sont présentes en quantité limitée et non renouvelables, Au cours des temps géologiques – qui s’échelonnent depuis 4,5 milliards d’années et se divisent en périodes d’appellations différentes – une petite partie de la biomasse – l’ensemble des matières organiques d’origine végétale -.a été enfouie dans le sol, ou s’est déposée sous forme de sédiments au fond des lacs et des océans. Elle s’est ensuite transformée en kérogène, puis en combustibles fossiles : pétrole, gaz naturel ou charbon, à la fois énergies et matières premières..
L’énergie renouvelable est justement celle qui n’est pas fossile, elle provient de sources que la nature renouvelle en permanence, par opposition à une énergie non renouvelable dont les stocks s’épuisent.
Il n’y a donc pas de confusion possible entre les énergies fossiles et les énergies renouvelables, sauf que les unes et les autres nous viennent du soleil. Le pétrole, n’en doutons pas un instant, constitue une énergie fossile. La question que l’on peut se poser est la suivante : n’y a t’-il pas une sorte de pétrole en quantité inépuisable que l’on pourrait fabriquer en grandes quantités, et si identiques au pétrole qu’on pourrait la considérer comme du pétrole ? Cette question hante depuis des années des chercheurs, des inventeurs et des découvreurs.
Parce que l’on sait que le pétrole n’est pas inépuisable, puisque sa quantité est finie : elle ne se renouvelle pas à l’échelle de notre histoire. En outre, il faudra aller le chercher de plus en plus profondément et au moyen de techniques coutant de plus en plus cher, forcément moins intéressant que le pétrole bon marché et de plus, soumis à la concurrence du renouvelable qui fait l’objet de recherches et d’études qui lui donnent un pouvoir d’attraction de plus en plus grand, que ce soit les énergies pures-comme le vent – ou les matières-énergie comme l’éthanol, le diester.- un biocarburant pour moteur Diesel issu essentiellement de la transformation des huiles végétales de colza et de tournesol. La question est donc de savoir si le pétrole fossile sera toujours indispensable à l’homme et le passage obligé de tous les humains, surtout à une période où l’on prend de plus en plus conscience de la gravité du problème du dérèglement climatique que l’on peut imputer aux gaz à effet de serre comme le CO2 et au-delà aux énergies fossiles principalement.
Le pétrole (hydrocarbure liquide, appelé aussi « huile »), tout comme le gaz naturel, est un combustible fossile qui provient de la décomposition de la matière organique présente en plus ou moins grande concentration dans les sédiments. En pratique, l’enfouissement progressif des sédiments va permettre à la matière organique de lentement se transformer pendant des millions d’années. La question est donc la suivante : peut-on accélérer le processus de décomposition afin d’obtenir rapidement un succédané du pétrole ?
Quels sont les composants que l’on doit mettre en présence pour obtenir ce produit tellement recherché.
Il faut tout d’abord du dioxyde de carbone CO2 et ce n’est pas ce qui nous manque : il y en a dans l’air, dans les vapeurs issues de la combustion du carburant, dans les fumées qui s’échappent des cheminées des usines polluantes ; l’activité humaine en produit énormément…
Il faut de la biomasse : Or, dans la mer il ne manque pas d’algues et celles-ci ont de nombreuses qualités du point de vue de leur culture : elles croissent très vite, sont emplies de graisses, une source d’énergie potentielle, et elles consomment du gaz carbonique, combattant ainsi le réchauffement du climat.
Il faut enfin de l’énergie solaire et nous en avons pour un bon bout de temps encore.
La découverte d’un français résidant à Alicante en Espagne
Ingénieur en thermodynamique de formation, Bernard Mougin débute sa carrière au sein de l’entreprise familiale spécialisée dans la construction de centrales thermiques et d’usines de distillerie en France, en Allemagne, en Turquie et au Moyen-Orient.
Il poursuit sa carrière au sein de Thomson–CSF dans la défense et l’ingénierie des systèmes avant de rejoindre North Atlantic Group, une entreprise de maintenance et d’ingénierie dans le domaine de l’aviation dont il assurera la direction du développement. Parmi ses projets de recherches basés sur l’étude des phénomènes électromagnétiques terrestres, il est notamment à l’origine des brevets « phénomène d’ionisation en milieu subaquatique » et « contrôle des champs magnétiques artificiels ». Avec une équipe de scientifiques et d’ingénieurs et le soutien des universités espagnoles d’Alicante et de Valence, il conçoit et développe le premier « procédé de conversion énergétique accélérée » qui permet de valoriser les émissions industrielles de CO2 en un pétrole de qualité, similaire au pétrole d’origine fossile et il fonde, pour ce faire, l’entreprise BSF.
Fabrication d’un pétrole en 48 heures
Élaboré à partir des émissions de CO2 des industries dites polluantes telles les cimenteries, les déchetteries, les centrales thermiques ou encore les raffineries, le pétrole bleu tel que nommé par BSF est produit directement sur place ou, selon les options retenues, sur un site distant de transformation.
Alors que le pétrole d’origine fossile a nécessité des millions d’années pour se former à la suite d’un long et complexe processus de sédimentation, 48 heures suffisent à produire ce pétrole. Il faut en effet près de 24 heures pour obtenir le gisement de biomasse et autant pour en extraire le pétrole. Les installations fonctionnent 24 heures sur 24 pour permettre l’absorption massive du CO2 par les algues et assurer une production en continu du pétrole.
Inspiré du processus naturel de formation du pétrole d’origine fossile, le procédé développé capture les rejets industriels de CO2 pour les transformer en un pétrole de qualité similaire au pétrole d’origine fossile (norme IFT), mais sans métaux et offrant les mêmes possibilités de produits dérivés (plastiques, polymères…)
À l’heure où les capacités de régénération de la planète semblent dépassées, cette percée technologique se révèle être une solution de premier plan pour éliminer les rejets industriels de CO2, répondre aux objectifs de lutte contre le réchauffement climatique et réduire la vulnérabilité énergétique des pays vis-à-vis des hydrocarbures.
Le procédé de synthèse breveté et développé par BFS s’inspire du processus naturel à l’origine de la formation du pétrole d’origine fossile. Il utilise des éléments comme l’énergie solaire (comme source principale d’énergie), la photosynthèse et les champs électromagnétiques associés aux propriétés organiques du phytoplancton (micro-algues marines) pour convertir le CO2 issu des émissions industrielles, en une biomasse puis en un pétrole artificiel similaire au pétrole fossile, sans soufre et sans métaux lourds, en quelque sorte un pétrole propre !
Les avantages de la technologie BFS et de son pétrole artificiel selon les dires de la compagnie semblent intéressants :
– Un pétrole propre sans soufre, ni métaux lourds donc plus facilement biodégradable que le pétrole d’origine fossile… et consommateur d’importantes quantités de Co2 pour sa fabrication, au total un carburant positif en ce qui concerne le bilan carbone.
– des bâtiments de faible encombrement favorisant une installation proche des usines à dépolluer,
– Une consommation en eau qui requiert 0,1 litre d’eau pour produire 1 litre de pétrole quand il faut 1000 litres d’eau d’arrosage pour obtenir un litre de diester à base de colza ou de tournesol,
– une production de biomasse sans prélèvement sur l’alimentation humaine ou animale,
– des usines qui recyclent leurs rejets et prélèvent les besoins énergétiques sur leur production.
On n’en parle pas vraiment dans l’actualité. On suppose que le procédé est au point. On sait que des compagnies pétrolières comme la principale compagnie du Brésil auraient acheté une usine clefs en mains. Compte tenu du calendrier communiqué par BFS il devrait à l’heure actuelle y avoir un certain nombre d’usines de ce type dans le monde. Il est certain qu’avec les océans et si ce projet se réalise ce n’est pas demain qu’il manquerait du pétrole et qui plus est du pétrole propre apte à capter du gaz carbonique en grandes masse, ce qui ne manque pas d’intérêt pour le monde.
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30 juin 2015, 13:02, par Maillot Joseph Luçay
Peu importe d’où pourrait venir le pétrole , de l’époque précambrienne après des millions d’années de décomposition et de transformation de matières végétales et animales , ou d’hier parla transformation ultra rapide de matière organique qu’elle proviennent de la mer ou de la terre ,la consommation de pétrole constituera une source de production de gaz à effet de serre qui entraine le réchauffement de la planète.
Produire du pétrole à partir des algues ou autres végétaux permettra probablement à celui qui a inventé le procédé de devenir très riche , mais continuera de mettre la planète en danger .
Tout d’abord ,Il y a d’autres solutions pour donner aux hommes l’énergie dont ils ont besoin vivre sans polluer la planète et la réchauffer .
Un énorme progrès a été au cours des 50 dernières années pour développer les énergies renouvelables telles que l’énergie éolienne, l’énergie solaire l’énergie géothermique ,l’énergie marée motrice , l’énergie hydraulique . Dans certains pays la part de l’énergie renouvelable représente déjà plus de 30% de la consommation d’énergie et les programmes gouvernementaux prévoient d’augmenter très rapidement cette part .
De nombreux brevets on été déposés dans divers domaine pour produire de l’énergie mécanique en s’appuyant sur autre chose que l’énergie thermique produite à partir de combustibles fossiles ou pas .
Je fais moi même partie de ceux qui ont réfléchis sur la question et j’ai obtenu un brevet Français que j’ai fait valider en Europe pour une turbine qui pourrait multiplier à l’infini la production d’énergie hydraulique de la planète puis qu’elle pourrait être installées dans pratiquement toutes les canalisation dans laquelle on met en circulation un fluide sous pression, ou servir de moteur à eau . Il suffirait qu’un industriel s’intéresse sérieusement à mon projet pour que j’apporte moi aussi ma petite contribution à la lutte contre le changement climatique en offrant la possibilité de produire en abondance une énergie propre et renouvelable . j’ai d’autres projet en cours d’étude qui pourraient déboucher sur la possibilité de produire de l’énergie uniquement à partir de la force de gravité universelle .
Je pense que si les hommes le veulent ,ils ont vraiment les moyens de renoncer à la combustion de produits qui augmente continuellement la quantité de gaz à effet de serre de la planète et par voie de conséquence le réchauffement climatique. Mais pour cela il faut changer radicalement de civilisation , de façon de vivre , car tant que la principale motivation des humains reste de faire les meilleurs profits personnels possible à chaque fois que c’est possible , sans trop se soucier des conséquences de leurs actes sur la planète, que l’énergie soit propre ou sale ,renouvelable ou pas , qu’elle provoque le réchauffement ou pas cela n’aura pas d’importance on continuera de vivre de la même manière avec les mêmes valeurs .
Il ne suffit donc pas de trouver d’autres solutions , comme de produire du pétrole artificiel avec des algues ou d’augmenter les possibilités de produire de l’énergie hydraulique ou nucléaire, mais il faut également changer de civilisation et faire en sorte que la course au profit individuel ne soit plus le moteur principal des sociétés humaines . Les humains ne pourront pas sauver leur planète tant qu’ils auront la possibilité de la détruire pour pouvoir faire fortune .