
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Conséquences de l’inflation et de la guerre en Ukraine
11 janvier 2023
En 2023, la croissance mondiale tombera à 1,7 %, contre un taux de 3 % prévu il y a six mois, indique Perspectives économiques mondiales, un rapport de la Banque mondiale. Un ralentissement net et durable de l’activité va frapper durement les pays en développement, avertit l’institution financière internationale qui constate des signes annonciateurs d’une récession dans les « économies avancées ».
« La croissance de l’économie mondiale devrait s’établir à 1,7 % en 2023, puis à 2,7% en 2024. On anticipe un ralentissement marqué et généralisé, les prévisions étant revues à la baisse pour 95 % des économies avancées et près de 70 % des économies de marché émergentes et en développement », indique un rapport de la Banque mondiale.
Selon les dernières Perspectives économiques mondiales publiées par la Banque mondiale, la croissance marque fortement le pas sous l’effet de l’inflation, de la hausse des taux d’intérêt, de la diminution des investissements et des conséquences de la guerre en Ukraine, indique la Banque mondiale.
Compte tenu de la précarité de la situation économique, toute nouvelle évolution défavorable — comme une inflation plus élevée que prévu, une hausse brutale des taux d’intérêt pour la contenir, une résurgence de la pandémie de COVID-19 ou une escalade des tensions géopolitiques t— pourrait faire entrer l’économie mondiale en récession. Ce serait la première fois en plus de 80 ans que deux récessions mondiales se produiraient au cours de la même décennie.
Au cours des deux prochaines années, la croissance du revenu par habitant dans les économies émergentes devrait être de 2,8 % en moyenne, c’est-à-dire un point de pourcentage de moins que la moyenne enregistrée sur la période 2010-2019. En Afrique subsaharienne, qui abrite environ 60 % des personnes vivant dans l’extrême pauvreté dans le monde, la progression du revenu par habitant pour les années 2023-2024 ne devrait être que de 1,2 % en moyenne, ce qui risque d’entraîner une augmentation de la pauvreté.
« La crise qui menace le développement s’aggrave à mesure que les perspectives de croissance mondiale se dégradent, déclare le président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass. Les économies émergentes et en développement connaissent depuis plusieurs années une croissance en berne en raison d’un lourd endettement et d’investissements insuffisants, car les capitaux mondiaux sont absorbés par les économies avancées confrontées à des niveaux de dette publique extrêmement élevés et à des taux d’intérêt en hausse. La faiblesse de la croissance et des investissements des entreprises aggravera les reculs déjà dévastateurs en matière d’éducation, de santé, de réduction de la pauvreté et d’infrastructures, ainsi que les nécessités liées au changement climatique. »
La croissance des économies avancées devrait chuter de 2,5 % en 2022 à 0,5 % en 2023. Ces deux dernières décennies, des ralentissements de cette ampleur étaient annonciateurs d’une récession mondiale. Aux États-Unis, la croissance devrait tomber à 0,5 % en 2023 ; ce taux, inférieur de 1,9 point de pourcentage par rapport aux prévisions précédentes, constituera la plus faible performance enregistrée par ce pays depuis 1970, en dehors des épisodes officiels de récession. En 2023, la croissance de la zone euro devrait être nulle, ce qui correspond à une révision à la baisse de 1,9 point de pourcentage. La Chine quant à elle devrait enregistrer une progression de 4,3 % en 2023, soit 0,9 point de moins que les prévisions précédentes.
Le rapport met également en lumière les difficultés spécifiques de 37 petits États, des pays dont la population est inférieure ou égale à 1,5 million d’habitants et qui ont connu un ralentissement plus marqué et un rebond beaucoup plus limité que les autres économies après la pandémie, en partie à cause des perturbations prolongées du tourisme. En 2020, la production économique des petits États a chuté de plus de 11 %, sept fois plus que dans les autres économies émergentes et en développement. Le rapport constate que ces pays subissent souvent des pertes liées aux catastrophes qui représentent en moyenne environ 5 % du PIB par an, ce qui constitue un sérieux obstacle à leur développement économique.
« Leurs responsables politiques peuvent améliorer les perspectives de croissance à long terme en renforçant la résilience au changement climatique, en encourageant une véritable diversification économique et en améliorant l’efficacité des administrations publiques », écrit la Banque mondiale. Le rapport appelle la communauté internationale à aider les petits États en maintenant les flux d’aide publique nécessaires pour soutenir l’adaptation au changement climatique et contribuer à rétablir la viabilité de la dette.
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Messages
11 janvier 2023, 03:53, par Maillot joseph Luçay
La puissante Russie aurait pu conquérir l’Ukraine en un mois comme les allemands on conquis la Pologne en septembre 1939 .
Si la guerre en Ukraine dure autant c’est peut être parce que son objectif n’est pas seulement pour les russes et leurs allies de conquérir l’Ukraine , mais de créer une situation de crise économique mondiale dont l’objectif serait le ralentissement et la récession en Occident et finalement l’autodestruction des démocraties occidentales qui s’effondreront comme un château de cartes sous les coups des manifestations populaires et des faillites de nombreuses entreprises les plus fragiles .
Malgré la menace nucléaire , cette guerre en UKraine va s’installer dans la durée si son véritable objectif est de déstabiliser l’économie de l’occident libéral et capitaliste .