
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
4 août 2012, par
En dépit de la remise en cause du modèle capitaliste par des économistes du monde entier, les marchés restent les principaux acteurs de la crise de la dette souveraine. Face à l’absence de mesures concrètes du président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, les marchés ont plongé, jeudi 3 août.
Cette situation survient quelques jours après les annonces de la BCE, de prêter main-forte à la zone euro, à condition que les États poursuivent leurs efforts en matière de réformes. Toutefois, l’Espagne et l’Italie ont exclu jeudi de demander un sauvetage global de leur économie, créant des tensions sur les marchés et la BCE n’a pas engagée de mesures concrètes pour soutenir les économies nationales.
Conserver sa souveraineté
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy et son homologue italien Mario Monti se sont rencontrés mercredi 1er août à Madrid et ont tous deux indiqué qu’ils allaient examiner les mesures envisagées par la BCE. Ceux-ci sont prêts à intervenir sur le marché obligataire, mais ils ont assuré "ne pas avoir parlé" d’un éventuel plan de sauvetage pour les économies des deux pays, a cité l’Agence France Presse. Après le cas grec, l’Italie et l’Espagne ne souhaitent pas voir la menace de la troïka peser sur leurs souverainetés. Ils ont pour cela affirmé être prêts "à travailler ensemble" pour sortir la zone euro de la crise de la dette.
À l’issue d’une réunion du conseil des gouverneurs de la BCE à Francfort, Mario Draghi a annoncé que la BCE pouvait "entreprendre des opérations sur le marché obligataire d’une taille adéquate pour atteindre son objectif", et ce face aux taux d’emprunt "inacceptables" que doivent consentir certains pays de la zone euro. L’objectif de l’institution est de "restaurer la bonne transmission de sa politique monétaire". Ces modalités n’ont pour le moment pas été étayées, ni appliquées.
Des marchés sous tension
Face à l’absence de mesures concrètes de la BCE, les marchés ont fait grimper le taux d’emprunt à 10 ans de l’Espagne et de l’Italie à de nouveaux sommets faisant plonger les places boursières. Face à cette situation, le président de la Banque centrale a indiqué que les mesures de réduction budgétaire et les réformes structurelles demandées allaient prendre du temps. Il préconise l’intervention des fonds de secours européens FESF et MES sur le marché obligataire, "à des conditions strictes", a-t-il estimé.
Mais Mariano Rpjoy s’est refusé à faire appel au FESF, pour ne pas être contraint de suivre un programme d’austérité et un contrôle strict de ses finances par la troïka (FMI, BCE et UE), comme ce fut le cas en Grèce, Irlande et au Portugal.
Le manque de coordination des responsables européens ne rassure pas les marchés. Mario Draghi a envoyé un message coutumier aux deux États indiquant que "la politique monétaire ne peut pas tout, et surtout pas compenser le manque d’action des politiques". Il a également réaffirmé l’engagement unanime des 23 membres du Conseil des gouverneurs à "tout faire" pour protéger la zone euro et martelé le caractère "irréversible" de l’euro.
Céline Tabou
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)