
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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Une invention géniale et utile mais lecture déconseillée au moment des repas !
16 juin 2015
Leroy Mwasaru est jeune kenyan de dix-sept ans au moment des faits. Il est pensionnaire dans une école scolarisant 700 jeunes comme lui. Avec des dalons de son âge il va révolutionner le quotidien du pensionnat.
Début janvier 2013, l’école de Maseno au Kenya a ouvert de nouveaux dortoirs pour 720 élèves, mais avec quelques soucis. Les latrines à fosse et un système d’égouts défectueux ont inévitablement laissé des odeurs nauséabondes et des sources d’eau douce locales polluées, tandis que la cuisine utilisait du bois comme élément de cuisson, ce qui était malsain pour les cuisiniers et l’environnement.
Le jeune Leroy et ses dalons vont décider de construire un bioréacteur pour la fabrication de biogaz : la matière première est toute trouvée, il s’agit des excréments humains et d’autres déchets qui serviront à produire un combustible de cuisson sur, propre et respectueux de l’environnement.
C’est dans ce contexte-là que Leroy a eu l’idée de construire un bioréacteur à déchets humains (HWB : Human Waster Bioreactor) qui recycle les déchets organiques des élèves ainsi que les restes alimentaires afin de les transformer en énergie propre et renouvelable.
Ce nouveau système a permis de remplacer le bois utilisé pour la cantine scolaire, polluant et dangereux pour la santé, et d’améliorer le quotidien des élèves et des cuisiniers.
En octobre 2014, Leroy Mwasaru a présenté son idée à la conférence Techonomy 2014 en Californie, et a eu encore plus d’idées pour développer et affiner la conception du HWB. Leroy Mwasaru a expliqué « Après le succès de notre deuxième prototype, nous avons travaillé sur la conception d’un bioréacteur pour les toilettes qui sépare l’urine des parties solides, les selles, car l’urine fait baisser le taux de production de gaz ou, pire encore, bloquer l’ensemble du processus »
La version finale du HWB coûtera environ 85000 dollars (75000 euros) à construire et installer, mais Leroy estime qu’il permettra de réduire de moitié les coûts de carburant pour la cuisine de l’école tout en offrant de nombreux avantages pour la santé de la communauté locale et l’environnement. Leroy a maintenant pour ambition de créer son entreprise et vendre son HWB à un prix accessible afin de fournir des services de carburant et d’assainissement aux communautés pauvres ou hors du réseau électrique.
Il s’agit finalement d’une histoire très morale qui pourrait aboutir à diminuer la déforestation et améliorer le quotidien des villages en supprimant notamment les pertes de temps des femmes et des enfants dans des corvées de bois interminables.
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