
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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Rapport de l’OCDE
17 janvier 2024
Aider la majorité de la population active mondiale à échapper à l’informalité et aux emplois mal rémunérés nécessite des politiques de protection sociale et de développement des compétences plus efficaces, selon le rapport « Briser les cercles vicieux de l’emploi informel et du travail peu rémunéré » publié ce 16 janvier.
Aujourd’hui, près de 60 % de la population active mondiale travaille de manière informelle, et plus de 90 % dans les pays à faible revenu. S’appuyant sur de nouvelles données, le rapport constate que ceux-ci se répartissent généralement en deux catégories distinctes : un nombre relativement restreint de travailleurs dans la tranche supérieure de l’emploi informel bénéficient de revenus relativement élevés. Mais la majorité — 54 % en moyenne et jusqu’à 80 % dans certains pays— se situent dans la tranche inférieure, avec des revenus inférieurs à 50 % du salaire national médian, moins de compétences et des niveaux de productivité bien inférieurs.
La plupart des travailleurs des pays en développement subissent donc le double fardeau de l’emploi informel et du travail mal rémunéré. En conséquence, ils courent des risques relativement plus élevés de sombrer dans la pauvreté et de souffrir de difficultés liées à la santé et à la vieillesse, qu’ils n’ont pas les moyens d’affronter.
Selon le rapport, les enfants de ces ménages héritent des vulnérabilités de leurs parents parce qu’ils vont moins longtemps à l’école, que leurs parents ont moins de temps et d’argent à consacrer à leur éducation, et qu’ils n’ont pas les relations sociales susceptibles de les aider à trouver de bons emplois. Les jeunes du niveau inférieur du secteur informel sont donc plus susceptibles de n’être ni en emploi, ni en études, ni en formation (NEET) et sont confrontés à des transitions école-travail plus longues et plus incertaines. Leurs premières expériences d’apprentissage ou de travail sont plus susceptibles d’être informelles que formelles, ce qui perpétue le statut d’employé pauvre dans le secteur informel de génération en génération.
Pour briser le cercle vicieux intergénérationnel de l’informalité et des économies en développement à bas salaires, le rapport propose plusieurs actions en matière de politiques publiques :
- le développement des compétences mieux adaptées à la demande, ainsi que la reconnaissance des compétences des travailleurs informels, peuvent grandement contribuer à combler l’écart entre l’offre d’emplois formels et l’abondance de main-d’œuvre informelle.
- Une meilleure prise en compte des différents besoins des travailleurs informels lors en matière de protection sociale peut également en améliorer considérablement les bénéfices.
- Investir dans une éducation accessible, équitable et de qualité ; dans la prévention du décrochage scolaire ; et des transitions plus fluides entre l’école et le travail sont des actions indispensables pour améliorer les compétences des enfants dans les ménages informels.
- Pour les travailleurs les plus pauvres, la meilleure stratégie est de s’assurer qu’ils sont correctement couverts par la législation du travail ; qu’eux et leurs enfants bénéficient des régimes de protection sociale non-contributifs existants ; et de subventionner leur participation aux régimes contributifs.
- Pour les travailleurs informels les plus aisés, des incitations plus larges à participer aux régimes contributifs sont nécessaires, ainsi qu’un meilleur respect des réglementations, notamment fiscales.
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